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Quelques dates de février à mai.

le 17 février 2008

Actualité

Agenda autour de l’habitat

Suivi de quelques brèves.

dimanche 17 février à 14h
La Uma, une AMAP à Paris

Réunion de La Uma, dans les locaux du réseau des Amap (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne) IDF,
26, rue Beaubourg (Mo Rambuteau),
2e étage, pte gauche (AMAPIDF), code 4218.

Préparation de l’ordre du jour participatif : envoyer vos propositions sur la boîte commune. C’est sympa aussi de dire simplement qui vient, avec quelle disponibilité de temps… afin d’organiser en fonction du groupe. Pensez à amener grignoteries, boissons chaudes ou fraîches à partager, plus chacun un verre afin d’éviter le jetable ;o)
(Ecrire à l’AMAP La Uma)

Du vendredi 29 février au dimanche 2 mars
Salon Primevère à Lyon

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Vendredi 29 février 10h-22h, samedi 1er mars 10h-20h et dimanche 2 mars 10h-19h), salon Primevère – Eurexpo Lyon.
Trois nouveautés : le thème 2008 de “La relocalisation” et deux nouvelles salles (“les métiers de l’écologie” et “l’info sur l’agriculture et l’alimentation biologique”).

HGSE (Habitat groupé Sud-Est) tiendra un stand et animera un atelier le vendredi 29 février à 19h : “Echanges de savoir et d’expériences”. Les groupes-projets sont invités à remplir une fiche de présentation de leur projet et à participer à la tenue du stand. Ces fiches seront déposées sur le stand durant le salon. Il serait intéressant à titre informatif de faire un glossaire synthétique des termes liés aux coopératives d’habitants (copropriété, scoop, SCI, SCIC, Clip…). Ecrire à HGSE

Fin mars
Visite de l’escampe

L’association Ecolieux Ile-de-France outre sa réunion chaque dernier vendredi du mois, propose fin mars une réunion sur l’histoire et l’avenir des écolieux, ainsi qu’une visite de l’Escampe (écolieu dans la région de Tours)… écrire à ElIDF

Jeudi 8 et vendredi 9 mai (accueil mercredi 7)
Rencontres habitat à Caracoles de Suc

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à Caracole-de-Suc (vallée de l’Heyrieux, en Ardèche), journées de rencontre autour de l’habitat écologique et social, dans un cadre de vie participatif et convivial, à l’initiative de la CEN (www.la-cen.org).

Penser ensemble comment construire, habiter, vivre autrement aux temps des fractures sociale et climatique ?

But : partager les expérimentations en cours et savoirs oubliés pour se loger de manière écologique et économique, construire avec le peuple dans une démarche participative, habiter ensemble dans un contrat solidaire…

Invités : toutes les associations et groupements d’éco-autoconstruction, du bâtir ensemble, de l’habiter en inter-âge, de lutte pour l’accès accéléré des plus pauvres au logement et au foncier, les élus concernés, les organismes d’HLM, les professionnels, les citoyenNEs et leurs amiEs.

Présentation globale

 Ne peut-on pas, puisque cela se fait déjà, stopper la combustion folle d’énergies fossiles : au lieu de les importer au prix fort des multinationales et du bouleversement climatique qu’elles génèrent, les remplacer par de l’énergie de proximité renouvelable inépuisable ?
 Ne peut-on pas, puisque cela se fait déjà, se ventiler par puits canadien, se chauffer par pompe à chaleur, poêle à bois, biomasse, s’éclairer par l’énergie solaire… ?
 Ne peut-on pas (puisque…) autoconstruire à l’économie, avec des matériaux locaux (paille, terre, bois, pierre) ?
 Ne peut-on pas, comme les Castors, construire à plusieurs sa propre maison et celle des autres ?
 Ne peut-on pas… intégrer à nos projet une entreprise d’insertion salariant des RMIstes intéressés à gagner leur vie tout en fabriquant leur logement à moindre coût (maisons confortables et autonomes à 30 000 euros) ?
 Ne peut-on pas… solliciter les bâilleurs sociaux et leur proposer de revoir leur manières de faire ?
 Ne peut-on pas leur suggérer de concevoir des projets de construction sociale démocratiques et participatifs dans lesquels les futurs occupants des logements participeraient à l’élaboration commune de leur futur lieu de vie avec l’architecte, en prévoyant les espaces intérieurs et extérieurs communs, y compris des jardins, des espaces de jeu pour les enfants, buanderie, atelier de réparation, espace de réunions, comme alternative à la fois au lotissement et à l’HLM où chacun est isolé…
 Ne peut-on pas impliquer les municipalités pour la mise à disposition gratuite de terrains, contre l’engagement de le laisser en bon état aux générations futures ?
 Ne peut-on pas activer la relance du crédit municipal aux prêts à taux zéro (cf. propositions pour les municipales de Valence des "mandrins") ?
 Ne peut-on pas lancer des coopératives municipales d’écoconstruction (cf. propositions de Jean Zin), etc.

  • Logement (en autoconstruction) sous tente.
  • Restauration (en autogestion conviviale) avec denrées apportées.
  • Prix (sans concurrence sur le marché) pour les frais d’organisation ventilés selon les revenus réels : petite association (moins de 50 adhérents), 25 euros ; moyenne, 75 euros ; grande (plus de 100), 150 euros ; individus au RMI, 5 euros ; gagnant de 500 à 750 euros/mois, 10 euros ; 750 à 1 200 euros, 15 euros ; 1 200 à 1 500 euros, 20 euros  ; 1 500 à 2 250 euros, 30 euros ; 2 250 à 3 000 euros, 40 euros ; 3 000 à 4 000 euros, 50 euros ; au-delà de 4 000, on prend tout !

ACTIONS, PETITIONS, ANNONCES

Pétition de soutien à des familles autosuffisantes menacées d’expulsion de leur propre terrain (elle était “normalement” à signer avant le 12, mais vous pouvez toujours visitez le site fort intéressant, écrire aux personnes concernées...)

INFOS DU PLUS PROCHE AU PLUS LOINTAIN

Un terrain, proposé par un élu, est toujours disponible au Pré-Saint-Gervais, pour y construire un projet d’Habitat écoconstruit et solidaire.

Ce terrain est situé près de la poste, à l’angle de la rue Danton et de l’avenue Jean-Jaurès (derrière 3 vieilles maisons dont un café)... Notre suggestion est de faire un projet comprenant :
 quelques logements privés ou en accession à la propriété, organisés par exemple sous forme de coopérative d’habitants, avec des locaux communs à définir,
 des locaux d’activités économiques, « durables et utiles », pour les habitants du Pré,
 des espaces verts sous forme de jardins partagés.

Si vous êtes intéressés par ce projet, nous vous invitons à aller voir le terrain et à envoyer un mail sur la liste google. Puis nous organiserons une première réunion.

L’association Hesp’ère 21e

Brèves

Réseaux habitat groupé

A la suite de la 5e rencontre interrégionale de l’habitat groupé (1er décembre 2007 – Paris), deux réseaux ont été créés : un pour l’Ile-de-France et un pour le Nord-Ouest. Une trentaine de personnes étaient présentes, presque toutes engagées dans des groupes projets. Le compte rendu est… attendu. La 6e rencontre était prévue à Faux-la-Montagne (Limousin) en juin 2008 ; ce projet est annulé, un relais devrait être pris à l’Ouest… A suivre.

Comment faire pour que tous les contacts des régions se sentent impliqués et participent à la vie du réseau ? Quel(s) mode(s) de consultation faut-il mettre en place pour les membres éloignés, désinformatisés ?

Réseau Habitat groupé (trois régions représentées), organisé selon les indicatifs téléphoniques :
Région Sud-Est (04)
Région Sud-Ouest (05)
Région Ile-de-France (01)

Réseau HGSE

Structuration : projet de création d’une association déclarée du type « collégiale » : toutes les personnes engagées (membres actifs) sont présidentes = CA de type collégial.
Les avantages sont nombreux : fédérateur, favorise l’engagement, la présence..., chacun est reconnu, évite les prises de pouvoirs. Le site Passerelle Eco présente en détail les associations collégiales dans une rubrique consacrée à ce sujet, avec des exemples de statuts par exemple ceux-ci

HGSE : une trentaine de personnes, surtout de la région lyonnaise, se sont réunies le 19 janvier : Maison Mozaïque de Chambéry, représenté par François Pradal, et Trans’missions solidaires de l’Ain, représenté par Marie-Hélène Alemann... Chacun a pu s’exprimer. Ecrire à HGSE

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Habicoop

Le compte rendu de la 2e rencontre nationale des coopératives d’habitants les 23 et 24 novembre 2007 à Labège (Toulouse) téléchargeable (à ouvrir si nécessaire avec Acrobat Reader) : partage des espaces, voisinage actif, sortie du système spéculatif, propriété collective, démocratie, autogestion, respect de l’environnement, accès aux ménages défavorisés : voici les valeurs autour desquelles se sont retrouvés les porteurs de projet. Ce temps d’échanges était organisé par l’Atelier Blanc et Habicoop.

Revue “S !lence”

Damien, membre du projet Clip, nous conseille vivement un article dans le dernier numéro du magazine à propos d’un "Hausprojekt" de 1 000 m2 à Potsdam. Ce lieu fait partie du réseau Miethauser Syndikat. La revue prévoit de faire un numéro sur l’habitat groupé (affaire à suivre).

Village Magazine

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“Village Magazine” aussi… et Emmanuelle, journaliste (“Village Magazine”, “Alternative Santé”, “Habitat naturel”...), préparait un petit dossier sur l’habitat groupé pour un hors-série de “Village Magazine” consacré à l’habitat et à l’urbanisme rural. Son message : “Mon dossier abordera les questions sociologiques, écologiques, juridiques de l’habitat groupé (écovillages, écohameaux, coopératives d’habitants, etc.). Mais aussi le pourquoi et le comment « vivre ensemble ». Si certains d’entre vous ont envie de raconter ce qui les touchent, les motivent, les intéressent dans l’habitat groupé (que vous viviez déjà ou non collectivement, et quel que soit le « niveau » de partage), je serai ravie de pouvoir illustrer mon dossier par vos témoignages…”

(Emmanuelle Mayer, 06 64 70 47 01)

Proto-quartiers

Nouveau site web du gouvernement sur les éco-quartiers qualifié de "proto-quartiers". ( Ici aussi)

Le proto-quartier : ce terme désigne un petit ensemble de constructions fréquemment situé en périphérie de ville ou en zone rurale. Les personnes à l’origine de ces quartiers sont des militants visant une vie alternative. Les démarches associatives au coeur de l’organisation communautaire des proto-quartiers priment sur les projets d’aménagement et d’architecture. On trouve dans les proto-quartiers des chartes d’engagements ayant pour but de « filtrer  » les populations résidant dans le quartier. Elles incitent les habitants à s’investir dans une démarche volontaire en faveur du développement durable et lient habitants et collectivités locales. Les proto-quartiers se veulent être des laboratoires expérimentaux de ce que pourrait être nos modes de vies futurs.

Masdar

Le Monde, 21 janvier 2008.

L’initiative a de quoi surprendre. L’émirat d’Abu Dhabi, l’un des principaux exportateurs de pétrole, doit annoncer, lundi 21 janvier, un investissement de 15 milliards de dollars (10 milliards d’euros) dans une ville écologique modèle, baptisée Masdar (la source, en arabe), dont la première pierre sera posée prochainement. Elle sera érigée en plein désert, non loin de l’aéroport d’Abu Dhabi et, si ses promoteurs réussissent leur pari, devrait compter 50 000 habitants en 2015. Selon l’émirat, Masdar sera la première ville au monde "sans émissions de carbone, sans déchets, sans voitures".

Les plans ont été dessinés par le cabinet d’architectes britannique Foster and Partners, qui s’est librement inspiré des médinas traditionnelles. La ville sera compacte, carrée et ceinte de murs pour la protéger des vents chauds du désert. Ses ruelles seront étroites, ombragées, bordées de cours d’eau pour les rafraîchir. Aucun habitant n’aura plus de 200 mètres à parcourir pour accéder aux commerces et services. La marche et le vélo seront privilégiés. Pour les plus longues distances, un système de transport automatisé - de petites cabines individuelles fonctionnant sur le modèle d’un tramway - remplacera les voitures.

L’objectif affiché est de recycler la totalité des déchets. La consommation d’eau de mer dessalée sera réduite de 80 % grâce au recyclage. Une partie des eaux usées irriguera des plantations situées à l’extérieur des murs. Les cultures serviront à l’alimentation et à la production d’agrocarburants. L’énergie solaire sous toutes ses formes sera prépondérante pour approvisionner la ville en énergie. Quel intérêt pour Abu Dhabi ? "Diversifier notre économie, répond d’emblée Sultan Al Jaber, directeur de la Compagnie d’Abu Dhabi pour l’énergie du futur. Nous voulons garder notre rôle-clé sur le marché de l’énergie. Il est naturel que nous nous tournions vers celles du futur."

L’émirat veut faire de Masdar la "Silicon Valley des énergies renouvelables". "Nous voulons rassembler à cet endroit étudiants, chercheurs, hommes d’affaires, écologistes", explique M. Al Jaber. Les entreprises seront exemptées d’impôts grâce à l’instauration d’une zone économique spéciale. Un fonds d’investissement aura pour objectif d’attirer les entreprises innovantes. Un institut de recherche sera créé, avec le soutien du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Abu Dhabi veut faire de Masdar un lieu de création et d’expérimentation, une vitrine pour les technologies "propres" : solaire photovoltaïque et thermique, rafraîchissement solaire, énergies éolienne et marine, géothermie, agrocarburants, hydrogène, transports et bâtiments propres, recyclage de l’eau, séquestration du carbone...

Masdar a reçu le soutien du Fonds mondial pour la nature (WWF) dans le cadre de son programme One Planet Living (Vivre sur une seule planète). "L’empreinte écologique d’Abu Dhabi est l’une des plus élevées au monde. Si tout le monde sur Terre s’y situait, nous aurions besoin de cinq planètes pour vivre", explique Jean-Paul Jeanrenaud, directeur du programme.Transports, climatisation, dessalement de l’eau de mer, importation de produits alimentaires : tout repose aujourd’hui sur l’énergie fossile. "Masdar est le signe que les dirigeants de ce monde réalisent que nos ressources ne sont pas inépuisables, poursuit M. Jeanrenaud. C’est un projet particulièrement intéressant parce qu’il se situe dans le Golfe, qui vit du pétrole."

Partout dans le monde, des initiatives de ce type germent. Bedzed, un "écoquartier" situé au sud de Londres, est la plus célèbre d’entre elles. D’autres, de dimensions diverses, sont en préparation en Grande-Bretagne, aux Etats-Unis, au Canada, en Afrique du Sud, en Australie et au Portugal. Mais la seule rivale de Masdar en terme de taille se situe pour l’instant en Chine : la ville "verte" de Dongtan, au nord de Shanghaï, vise 50 000 habitants en 2010 et 500 000 en 2050.

Gaëlle Dupont

Les Villes Durables selon le WWF

Le programme One Planet Living du Fonds mondial pour la nature (WWF) fixe dix principes à respecter dans les quartiers ou villes qui se veulent "durables" :
 aucune émission de carbone ;
 aucun déchet ;
 utilisation de transports durables ;
 utilisation de matériaux certifiés et recyclés ;
 alimentation basée sur des produits locaux respectueux de l’environnement ;
 maîtrise de la consommation d’eau ;
 protection de la faune et de la flore ;
 utilisation des traditions architecturales locales ;
 promotion d’un commerce équitable respectant les standards de l’Organisation internationale du travail (OIT) ;
 développement de la qualité de la vie.


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  • Nouvelle date !

    Le 6 mars 2008, par JLuc (Passerelle Eco)

    Mardi 11 mars, de 16h à 18h30, conférence-débat "Nouveaux usages du sol", dans le cadre d’un cycle organisé par le CAUE 78, sur le thème “Territoire durable, territoire de liens” qui explore l’émergence de rapprochements nouveaux entre la ville et l’agriculture, au coeur des enjeux de l’aménagement urbain et territorial.

     16h accueil et introduction, par Elisabeth Rojat-Lefebvre, directrice du CAUE 78
    animation par Agnès Sourisseau et François Adam, paysagistes

     Un réseau d’éco-urbanité, par Constantin Petcou , architecte - chercheur

    Créés par des « habitants-jardiniers », les micro-jardins souvent vivriers occupent des friches et des délaissés urbains pour une vie temporaire ou plus durable. Profitant des interstices de la ville, un réseau d’éco-urbanité se développe à une échelle de proximité, mais également à l’échelle de la métropole parisienne. Des activités maraîchères, artistiques et citoyennes qui contribuent à désenclaver la vie des quartiers s’y déroulent...
    Des exemples d’éco-urbanité en Ile-de-France et au sein d’autres métropoles européennes seront présentés, offrant des alternatives aux procédures habituelles d’intervention urbaine.

     Terre de liens, par Valérie Rosenwald, animatrice de l’antenne Ile-de-France de l’association

    Afin d’aider les agriculteurs et les porteurs de projets ruraux à trouver les terrains nécessaires pour monter leur projet en Ile-de-France, l’association Terre de Liens mobilise les franciliens autour d’une épargne citoyenne. Par le biais d’une « foncière », les particuliers, souvent riverains citadins, peuvent participer à l’achat collectif des terres. Celles-ci seront mises à disposition dans le cadre de la politique de l’association visant à soutenir les modes de vie et les pratiques de développement durable. Outre le soutien de la Fondation de France, Terre de Liens bénéficie de partenariats avec des organismes tels que la Société d’aménagement foncier et d’établissement ruraux (SAFER), le Conseil régional, la Direction des relations de travail, certaines intercommunalités, l’Agence des espaces verts (AEV), l’Association pour le maintien d’une agriculture paysanne (AMAP).

    Par des exemples parfois inattendus, ouvrant sur de nouveaux usages du sol et de nouvelles pratiques tant en ville qu’en campagne, ce cycle a pour objectif d’interroger les conflits d’usages possibles, de les dépasser, pour présenter l’agriculture comme centre privilégié des enjeux de l’aménagement du territoire à toutes les échelles, de la parcelle urbaine aux territoires péri-urbains ou ruraux.

    Est-ce la ville qui grignote l’agriculture ou l’agriculture qui grignote la ville... De l’urbain agricole et apicole à la campagne urbaine, quels sont les nouveaux usages du sol et les nouveaux acteurs possibles pour un rapprochement serein entre l’agriculture et la ville ?

     Miel béton, par Olivier Darné, plasticien et apiculteur urbain

    Des millions d’abeilles travaillent en ville : dans des cours, dans des jardins ou sur les toits, les ruches développent leurs propres centralités et leur activité montre l’incroyable biodiversité disponible en milieu urbain. L’expérience du « Miel Béton » produit sur les toits de la mairie de Saint-Denis ou à traves les installations de « Pollinisation de la ville » qu’Olivier Darné pose sur les trottoirs nous donne à goûter la ville que nous habitons et nous questionne sur l’existence et la qualité de cet espace urbain « butinable ».

     Habiter « léger » par Joe Sacco, président de l’association « Halem » :

    « Face au prix du logement inaccessible, de nombreux franciliens choisissent le vert, rejetant ainsi les mégapoles et le tout béton ». Le développement de l’habitat éphémère ou mobile (Halem) sur des terres non viabilisées transforme-t-il des lieux agricoles en lieux de vie ?

    Viabilisation naturelle, aménagement réversible, contrat d’objectif... des expériences menées par des associations en accord avec certaines collectivités.

      18h : échanges avec les participants

     18h30 : pot de convivialité avec des productions locales représentatives du lien entre terroir


     Lieu : amphithéâtre de l’Ecole nationale supérieure du paysage de Versailles (78), 10, rue du Maréchal-Joffre (entrée par le Potager du Roy)
    Gare Versailles rive gauche - RER C
    Gare de Versailles Chantiers - Paris Montparnasse
    Gare de Versailles rives droite - Paris Saint-Lazare

     Inscription obligatoire à retourner par télécopie au 01 39 50 61 60 ou par courriel caue78@caue78.com

    CAUE 78 Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement des Yvelines
    56 avenue de Saint-Cloud 78000 Versailles
    Tél : 01 39 07 78 66
    Courriel : caue78@caue78.com

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