Projet d’un écolieu de partage et d’harmonie
Aller à la rencontre de nous-mêmes dans le partage et l’écoute, réaliser les liens qui nous unissent avec tous chemins de vie, construire un espace d’entraide et d’harmonie, telles sont nos aspirations. Afin de créer ensemble un lieu de vie responsable et écologique, inscrit dans le soin de la terre, du monde et de soi, rassemblant permaculture, écoconstructions bioclimatiques et expérimentales, accueil et restauration bio, recherche et création artistiques, thérapies alternatives et ressourcement, formation, transmission de savoirs et savoirs-faire... et tout ce en quoi la vie nous invitera.
Le lieu idéal
Après un stage de formation auprès de Sophie Rabhi et Laurent Bouquet au Hameau des Buis, la visite de plusieurs écovillages opérationnels et l’exploration d’une sélection de propriétés, nous avons trouvé à 15’ de Saint-Affrique (Sud-Aveyron) un site qui a retenu toute notre attention...
Avec de grandes capacités d’habitation immédiates (600 m²), mais aussi la possibilité d’éco-aménagements et d’éco-constructions qui seront facilitées par le lieu, ses ressources naturelles et le matériel agricole laissés avec la ferme, un authentique manoir du XIe siècle et de spacieuses dépendances y sont entourées de 35 ha de collines, pâturages (n’ayant jamais connu de produits chimiques), bois, avec source et ruisseaux, qui nous invitent à un projet global de permaculture (vergers, jardins, conservatoire botanique) accompagné par les plus motivés des paysagistes, designers et formateurs. Le lieu est de même idéal pour des projets de rencontres artistiques grâce à une immense bergerie aux arches romanes pourvue d’une exquise acoustique, aux autres dépendances, à une large cour intérieure, et aux prairies...
On y accède par la route et si aucune maison n’est visible à la ronde, la belle région de Saint-Affrique est riche en lieux de vie alternatifs, dont parmi nos plus proches voisins, l’Ecohameau de Vispens (Projet Terre de Liens), ou encore La Grange aux Rêves (le Moulin de Len), tous deux à quelques kms, et fait preuve d’une grande activité associative et culturelle.
L’urgence financière
Cependant la SAFER, en charge de la vente, nous donne jusqu’à la mi-mai pour établir l’acte de vente : nous avons donc seulement quelques semaines pour réunir l’argent (800 000 €), et il nous manque environ 300 000 €...
Nous lançons donc un appel à votre solidarité à travers des prêts, afin que ce projet puisse voir le jour. Une Société Civile est en cours de constitution, pour recevoir les contributions de l’ensemble des partenaires. Si le lieu nous est acquis plusieurs d’entre nous qui ont mis leurs biens en vente pourront très vite rembourser les prêts des souscripteurs qui le souhaiteront, conformément au contrat de prêt. Les risques sont nuls car les ressources en attente de ces ventes sont déjà égales au triple des sommes à rembourser.
D’autre part, ceux qui nous aideront ainsi à compléter ces 300 000 euros auront, s’ils le souhaitent, au lieu d’être remboursés, une possibilité d’accès à une habitation sur le site ; pour les petites sommes, les contributeurs seront remboursés ou auront droit à des séjours à prix réduits, à leur choix.
Attention,je reçois un mail d’un certain Julien Maret que je ne connais pas et qui dit être en Afrique et avoir un besoin financier urgent. Qu’en est-il réellement ? Dominique Reynier.