Sommaire du numéro
Accoucher à la maison : l’hospitalité, pas l’hopital
– Naissance :
Préparer son accouchement commence par faire la liste des meilleures conditions possibles pour cet accouchement. Essayer ensuite de réunir ces conditions est la plus naturelle des choses. Et le plus souvent, ces meilleures conditions ne pourront pas se trouver à l’hôpital.
– Une perle : la sage-femme
Grandeurs et difficultés d’un métier si essentiel, par Céline Élodie Duchemin.
– Faire l’enfant là où on a fait l’amour
Enjeux, perspective historique et géographique de l’accouchement, par
Himalove.
Permaculture
– Bien s’occuper des arbres
Andy Darlington présente ses vergers et leurs enseignements, nous initie à la vie
des arbres et rappelle les principes de Permaculture qui l’ont inspiré.
– Tester un projet de ferme permacole
Un réseau d’espaces-tests pour porteurs de projet s’est constitué. Parmi eux,
une couveuse de fermiers en permaculture...
Vivre Ensemble
– EcoHameau : Bazian s’ouvre au monde francophone et cherche de nouveaux habitants.
– Habitat Participatif : Nouvelle étape pour Les Choux Lents. Les travaux, l’organisation, le juridique.
– Carapa, c’est fini. Faire part de fin de vie d’un écolieu.
Communication : L’art du commentaire Dans un groupe, l’engagement d’une personne rencontre les avis des autres participants. Par Benjamin Huet.
Initiatives
– Le rachat de la plus ancienne maison paille au monde, pour en faire le centre national de la construction paille.
– Opération Milpa : cette culture traditionnelle pour nous nourrir... et promouvoir l’agroécologie et la permaculture.
Réseau éco
Comme d’habitude, retrouvez les annonces de l’écovillage global et l’actualité des acteurs de l’écologie pratique, des associations militantes ou du terrain, des écolieux, de l’habitat groupé : l’ensemble des personnes et associations de toute sortes qui contribuent dans leur secteur spécialisé à faire avancer un mode de vie écologique pour tous... prés de chez vous aussi !
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Ce numéro 48hiver 2013 |
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L'association Passerelle Eco organise également des ateliers d'écologie pratique : réalisation de cuiseurs solaires, randonnées gustatives de découverte des plantes sauvages comestibles, divers ateliers pour les salons et écofestivals tels que le calcul de votre empreinte écologique, ...
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Bonjour, J’ai lu votre article "faire l’enfant là où on a fait l’amour". Si je rejoins entièrement votre analyse sur les efforts d’accueil à faire à un petit être vulnérable qui vient de naître, ainsi qu’à l’accompagnement humain et délicat qui doit être celui de la maman, en revanche, je ne vous rejoins pas du tout sur les origines qui nous on conduit à "industrialiser" la naissance. En effet, vous laissez entendre que la femme subissait dans le passé des pressions machistes, dont la révolution sexuelle de 1968 nous aurait enfin sorties. Et que, actuellement, la femme vivrait une position enfin libérée du clergé qui lui donnerait la possibilité de jouir de son corps comme elle l’entend.
La réalité est toute autre : Nous assistons aujourd’hui à une attaque violente du noyau familial. La femme étant présentée comme non indispensable pour la gestation de l’enfant. Ainsi, la théorie des genres est en train d’être installée, nous faisant croire qu’un homme et une femme sont interchangeables, et qu’un "couple" peut très bien se passer de l’autre genre pour procréer. Cette attaque a été insidieuse, les femmes manipulées, elles-même vectrices de cette tromperie à leur insu. Cette tromperie est organisée de longue date, Mai 68 ayant été les premiers coups de boutoir sérieux. Bien sûr, c’est présenté sous forme d’une libération, sinon personne n’adhèrerait. Mais la femme moderne est libérée de quoi exactement. Elle est transformée en esclave à double journée qui travaille la journée pour un patron et le soir pour sa famille. Les hommes, à force qu’on tape gratuitement sur du mâle se sont découragés et ont désinvesti leur paternité ainsi que leur rôle de protecteur. La femme n’est même pas remerciée pour avoir mis au monde un enfant, on lui dit que c’est son propre choix égoïste, et que de toute façon, on n’aura bientôt plus besoin d’elle à ce sujet : la médecine par la GPA s’en sortira très bien sans elle. On lui propose même maintenant de louer son utérus pour que d’autres puissent devenir "parents". C’est ça la libération...un désastre oui !
Réveillez vous les filles. Nous ne sommes pas libérées du tout, et la famille est attaquée. Le choix de société qui est en train d’être fait va fabriquer sciemment des orphelins par la GPA. A bientôt Emmanuelle