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Coupable de vendre des plantes de nos campagnes ?

le 6 mars 2005

Contact

Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

Appel à témoignage et à référence bibliographique

La SICA Biotope des Montagnes est un groupe de 15 petits producteurs de plantes aromatiques et médicinales de montagne, qui cueillent, cultivent et commercialisent au public une cinquantaine d’espèces traditionnelles selon des méthodes qui visent au respect maximal de l’environnement, de la plante, et de l’Homme (producteurs et consommateurs).

Le SICA BIOTOPE et son président, Jean-Louis Fine, sont cités à comparaître très prochainement au tribunal correctionnel de Nîmes pour avoir commercialisés de la prêle en sachet à infusion en dehors du cadre du monopole pharmaceutique dans une boutique diététique de St-Lot (Manche).

Or, pour des motifs étrangers à tous sauf au lobby pharmaceutique, la commercialisation de ces plantes n’est pas autorisées en dehors ... des pharmacies. En France, la vente des plantes médicinales est réservée aux pharmaciens, à l’exception de 34 espèces libérées et d’une centaine d’aromates et épices. Dans les faits, ce monopole concerne environ 600 plantes !!! Par exemple : le monopole concerne le Bleuet, la Calendula, le Bouleau, le Buis, le Mélilot et même la feuille de Myrtille et de Framboisier !! D’où on s’en doute les nombreux procés...

Il y a actuellement environ 200 procés de ce type !!!

Cette situation est insupportable car ces plantes appartiennent à tous ; de tout temps elles ont été utilisées dans nos foyers ; la prêle est bénigne et sa consommation sans excés ne présente aucun danger.

Or, une plante cesse d’être médicinale et donc sous le joug de ce monopole dés que l’on peut justifier d’un usage non thérapeutique en Europe [2].

Aussi Passerelle Eco a lancé un appel :
 à témoignages utiles pour libérer la prêle et pourquoi pas d’autres plantes

 à constitution d’une coordination de défenseurs de l’usage traditionnel des plantes de nos campagnes et pour la liberté de leur circulation.

A l’heure actuelle :

 Les témoignages ont été rassemblés par l’association, qui les a communiqué aux défenseurs de la SICA Biotope pour qu’ils en fassent le meilleur usage.

 Un article présentant les 1000 usages pratiques de la prele, usages médicinaux ou non médicinaux, a également été rédigé par Stéphane Boutin et publié dans Passerelle Eco n°20

 le procés de la prêle a eu lieu et les défenseurs font actuellement appel à votre solidarité financière !

Libérer la prêle

Pour éviter une jurisprudence défavorable qui accroitrait encore le joug des lobbyes pharmaco-industriels sur nos corps et notre santé, il y a un moyen : prouver que la prêle a des usages traditionnels autres que médicaux, alimentaires surtout, ou agricoles, tinctoriaux... Car à ce moment, les pharmacies ne peuvent pas réclamer le monopole de la commercialisation.

Restaurateurs, diététiciens, documentalistes, ethnobotanistes et agriculteurs sont particulièrement susceptibles de répondre à cette demande.

Nous recherchons des références bibliographiques et témoignages d’usage culinaire ou non médical de la prêle Equisetum arvense

Merci de collecter et de nous transmettre les références et témoignages suivants :

1) des références bibliographiques précises concernant des usages alimentaires de la prêle (ou en tout cas des usages non médicaux)
 ces textes et références peuvent provenir de n’importe pays européen de la communauté européenne [1].
 les usages de la prêle en agriculture sont bien connus depuis Steiner et l’agriculture biodynamique, cependant cet usage sera moins pertinent lors du procés, car les préparations incriminées étaient préparées en sachets pour faire des infusions...

2) des témoignages nominatifs de tels usages  : des témoignages d’usage par des restaurateurs ou d’autres personnes, des recettes culinaires, des témoignages de distribution autre part qu’en pharmacie, ...

3) toute information et témoignage sur d’éventuels effets toxiques de la prêle sont également recherchés afin de parfaitement cerner plus largement le sujet.

4) les information sur les usages non médicaux et en particulier alimentaires des autres plantes concernées, telles que Bleuet, Calendula, feuilles de Bouleau et de Buis, Mélilot, feuille de Framboisier et de Myrtille, ... sont également bienvenus, ceci afin d’élargir la démarche aux autres plantes menacées.

Notez bien SVP : Pour pouvoir être utilisés, ces informations doivent être précises.

Contre la mainmise de l’industrie sur nos corps et nos campagnes

Cette recherche va de pair avec la lutte paysanne pour défendre le droit à la souveraineté alimentaire par la sauvegarde et l’usage des variétés rustiques de plantes alimentaires, qui nous évitent la dépendance complète au monopole des multinationnales des semences.

Elle va également de pair avec le droit de la personne à choisir son alimentation et à gérer sa santé.

Il s’agit ici de défendre le droit de cueillir, distribuer et accéder librement à des remèdes qui appartiennent au patrimoine culturel populaire.

Alors que de plus en plus de personnes se tournent vers une alimentation saine et naturelle, et vers des méthodes de santé préventives ou douces, il s’agit de défendre le droit de cultiver ou cueillir et de diffuser librement les bonnes choses que la nature nous offre, ces plantes sauvages ou cultivées utilisées de manière traditionnelles pour notre bien-être.

La volonté hégémonique des pharmacies sur les plantes étant à l’origine de ces procés, il s’agit également de défendre le droit de distribuer largement ces plantes, sans devoir passer par des corporations privilégiées.

Enfin, ces plantes ayant des usages de santé en plus des usages culinaires, il s’agit plus globalement de reprendre en main notre santé, sans dépendre du bon vouloir et des intérêts pécuniers des grands trusts pharmaceutiques.

Veuillez communiquer cet appel aux personnes susceptibles de répondre.

Merci également pour votre participation.

Constituer une coordination ou une fédération d’association pour regagner la libre circulation des plantes de bien-être

Tant les consommateurs que les producteurs et distributeurs pourraient se retrouver sur cette plateforme d’échanges et d’élaboration d’action.

L’objet serait
 de rassembler dans un même mouvement tous les défenseurs de l’usage des plantes de nos campagnes (consommateurs, producteurs, herboristes, distributeurs, professionnels de la santé et de l’économie sociale , phytothérapeuthes, tradipraticiens ...)
 de mieux faire connaître les usages traditionnels de plantes, et développer la conscience qu’elles sont nos amies...
 étudier les conséquences de l’interdiction de l’herboristerie par Pétain (en 1941...),
 étudier les moyens d’y remédier aujourd’hui : quels statuts pour un nouvel herboriste ?

Contacts

Pour toute réponse, adressez vos courriers à Passerelle Eco, ou si vous êtes familier d’internet, déposez directement vos témoignages en commentaire de cet article . Le syndicat des SIMPLES pourra en faire une synthèse, et l’utiliser dans son combat politique.

Notes

[1de l’Europe de 1997

[2dans l’Europe d’avant 1997


Sur la prêle

 Photos de prêles
 lepetitherboriste

 Un article compilation des 1000 usages pratiques de la prele, usages médicinaux ou non médicinaux, a également été rédigé par Stéphane Boutin et publié dans Passerelle Eco n°20

 Sur les résultats du procés et la suite (appel) voir les explications suite aux résultats du procés de la prele, avec les raisons de faire appel.

 Vous voulez les soutenir pour le procés en appel ? Voyez l’appel à soutien financier et juridique que lancent les producteurs

 Voir la présentation de la situation juridique de l’herboristerie en France et la liste des plantes médicinales libérées = dont la commercialisation est autorisée


28 votes

22 messages

  • Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

    Le 22 juillet 2007, par papiers chinés

    bonjour Parmi les usages de la prêle , il existe la fabrication de papier végétal , c’est une plante qui s’y prête très bien et qui de part sa structure très particulière donne un rendu très intéressant Sa tige donne l’aspect d’une écriture ancienne , les petites couronnes un peu noires en haut des tiges , la transparence de celle-ci est aussi du meilleurs effet , surtout quand la tige est assez grosse Son coté graphique et aérien se prête à des techniques d’impression comme le monotype Sa rareté dans le paysage permet de garder le coté secret et cadeau de cette plante Bel hommage à une plante pleine de richesses

  • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

    Le 18 juillet 2006, par Jonathan

    "Une plante cesse d’être médicinale et donc sous le joug de ce monopole dés que l’on peut justifier d’un usage non thérapeutique en Europe"

    Si je comprend bien, nous pouvons vendre de la prêle (et bien d’autres plantes figurant parmis les 600 figurant sur la liste de la pharmacopée) si toutefois nous pouvons prouver que la plante n’est pas vendue dans une optique thérapeutique, ou encore mieux, en dehors d’un cadre de consommation.

    Vendre des plantes séchées comme de l’encens pour son parfum unique serait légale.. vendre de la prêle en infusion, c’est déjà plus délicat, car ses propriétés médicamenteuses sont prouvées.. la vendre comme décoration ou dans un but de conservation ou de curiosité mettrait en valeur cette phrase citée et protégerait ainsi le vendeur.

    Ce procès m’interesse énormément, merci de me contacter pour toute mise à jour.

  • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

    Le 21 février 2006, par sarvadon

    Bonjour, il est peut-être trop tard pour témoigner !! mais j’ai de la peine pour le groupe Biotope que je rencontre sur les marchés Bio et que j’apprécie donc voici mon témoignage sur la prele

    je trouve de la prêle à usage domestique chez un italien qui travaille dans la construction bio

    la prele réduite en poudre sert d’agent de lavage, pour les mains des ouvriers, mais aussi pour laver les outils

    ça gratte un peu ! Suzanne Bonnefond

  • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

    Le 17 décembre 2005, par X

    30/11/05 Midi-libre La SICA Biotope a été condamnée à une amende de 3000 €. Son représentant à 2000 € avec sursis. La justice leur reprochait d’avoir mis de la prêle sauvage sur le marché.

    • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

      Le 18 décembre 2005, par JLuc

      Oui. Il vont faire appel. Ce site présentera bientôt toutes les infos et le moyen pour aider.

    • Résultats du procés, les inculpés de la prele font appel !

      Le 20 décembre 2005, par JLuc (Passerelle Eco)

    • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

      Le 8 janvier 2006, par Gérard LACROIX

      Un des moyens à notre disposition , pour faire cesser le genre de dysfonstionnement auquel vous faites référence, consiste à utiliser le droit et en particulier les principes constitutionnels dont nous disposons encore , ( tant que la constitution européennne ou sa prochaine mouture n’est pas adoptée. Voir article 6 du projet : hiérarchie des droits ).

      Je vais m’expliquer dans quelques lignes.

      Les moyens que je vais évoquer concernent non seulement votre lutte contre les règlementations discriminatoires mise en oeuvre , dans le cas des plantes médicinales, mais également la réglementation concernant les semences paysanes, et l’ensemble des dysfonctionnements contre lesquels protestent nombre de citoyens et d’associations de défense... contre l’incinération, les OGM , l’épandage des pesticides divers, la discrimination à l’égard de l’agriculture biologique etc, etc.

      Les principes constitutionnels sont en permanence violés avec la complicité de l’ensemble des parlementaires rattachés aux différents partis qui ont eu des responsabilités gouvernementales , au cours des 40 années passées.

      Je ne fais pas ici l’apologie de l’extrême droite ou de l’extrême gauche, qui si elles acccédaient au pouvoir auraient des pratiques à peu près identiques sur ces sujets , parce que dans les deux cas elles défendraient les privilèges de l’ÉTAT, pour des raisons de pouvoir, au service de lobbies financiers dans un cas , au service du capitalisme d’ÉTAT dans l’autre cas. On a bien vu, en ex-URSS, on voit bien, en CHINE , que la transition entre capitalisme d’ÉTAT et capitalisme privé s’effectue sans grande difficultés au détriment des citoyens privés de contre-pouvoirs institutionnels.

      Ma logique est celle de la démocratie et, de la mise en oeuvre des contre pouvoirs institutionnels dont nous disposons dasn notre constitution qui est imparfaite mais qui nous protège , si nous voulons, nous en servir. Il y en a et bien peu s’en servent. La majorité des "citoyens se contentent de protestéer de dénoncer voir de pétitionner... comme avant la révolution. Ils oublient que nous vivons dans un état de droit. Ils ne connaissent pas le droit, leurs droits . En ce qui me concerne je ne cesse de me battre , pour la mise en oeuvre de contre-pouvoirs citoyens, par l’application des principes constitutionnels qui figurent dans les préambules de la constitution de 1958. ( Ces principes découlent directement de la révolution de 1789).

      Concrêtement :

      Il faut mettre en cause et faire annuler devant les juridictions administratives, ( avant d’aller éventuellement devant la Cour Européenne des droits de l’homme ) les décisions administratives ou gouvernementales qui ont organisé la règlementation initiale discriminatoire constestable . ( après recours gracieux initial ) . Quelque soit la date de l’adoption de cette réglementation, elle peut être mise en cause. Me contacter pour obtenir les références du texte qui permet ce recours et la méthode à mettre en oeuvre.

      Les moyens à invoquer : discrimination ( non application du 1er principe,) détournement de pouvoir, mise en danger de l’environnement et , de la santé, depuis peu, principe de précaution et de prévention à la source des atteintes à l’environnement etc, etc...

      La jurisprudence européenne peut également être mise à contribution.....

      Le fait de mettre en cause la réglementation sur laquelle s’appuie l’administration, a des conséquences importantes sur différents plans. Je ne m’étendrai pas sur cet aspect des choses, mais non pourrions en discuter ultérieurlment, si cela vous intéresse.

      A titre d’exemple, je bloque depuis trois ans, par une action citoyenne solitaire, la mise en oeuvre du plan départemental des déchets ménagers de la RÉUNION, par un recours au tribunal administratif. Je conteste ce plan en particulier parce qu’il a prévu le recours à l’incinération des déchets ménagers.

      Vous pouvez me contacter

    • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

      Le 18 juillet 2006, par Jonathan

      "Une plante cesse d’être médicinale et donc sous le joug de ce monopole dés que l’on peut justifier d’un usage non thérapeutique en Europe"

      Si je comprend bien, nous pouvons vendre de la prêle (et bien d’autres plantes figurant parmis les 600 figurant sur la liste de la pharmacopée) si toutefois nous pouvons prouver que la plante n’est pas vendue dans une optique thérapeutique, ou encore mieux, en dehors d’un cadre de consommation.

      Vendre des plantes séchées comme de l’encens pour son parfum unique serait légale.. vendre de la prêle en infusion, c’est déjà plus délicat, car ses propriétés médicamenteuses sont prouvées.. la vendre comme décoration ou dans un but de conservation ou de curiosité mettrait en valeur cette phrase citée et protégerait ainsi le vendeur.

      Ce procès m’interesse énormément, merci de me contacter pour toute mise à jour.

  • > Sauvons la prêle et la libre circulation des plantes de bien-être !!

    Le 28 mai 2005, par alfafa

    "Se nourir se guérir avec les plantes sauvages" Bianca et Alain Saury edition Tchou

    D I É T É T I Q U E E T RECETTES Dans tous les ouvrages que nous avons consultés, on parle peu ou pas du pouvoir nutritionnel de la jeune tige fertile de la prèle des champs ; il serait bien étonnant que les qualités de sa tige fertile ne ressemblent pas à celles de sa tige stérile : riche en vitamine C, en magnésium et surtout en silice. Les jeunes pousses de prèle des champs se consomment à la manière des pousses d’asperges sauvages, c’est-à-dire crues ou cuites mais de préférence crues ou très peu cuites afin de ne pas nous priver de leur apport vitaminique et minéral. Prèle crue en hors-d’oeuvre : prendre les jeunes pousses de prèle, les brosser, les essuyer, les disposer sur un plat ; les servir au début du repas, sans rien, ou avec un peu de sauce de salade. Prèle en omelette : brosser les jeunes pousses, les rincer, les essuyer, les mettre dans lés oeufs battus avec un peu de gruyère râpé, de sel et de thym ; faire cuire dans une poêle huilée ; servir baveux. Prèle en gratin : faire légèrement cuire à l’eau les pousses de prèle ; les égoutter ; les mettre entières dans un plat en terre huilé ; parsemer de coquilles de beurre, de gorgonzola, de chapelure, d’un peu de sel et de persil ; mettre au four ; servir gratiné. Prèle en purée : faire légèrement cuire à l’eau les pousses de prèle ; écraser ou tamiser ; mélanger cette purée à une purée de pommes de terre (à parts égales) avec un jaune d’oeuf, de la crème fraîche, un peu de sel et du gruyère râpé ; faire gratiner au four dans un plat légèrement huilé.

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