En partenariat avec le DIFED et sous la supervision de Passerelle Eco, 4 étudiants vont étudier les écovillages et les porteurs de projets.
Leur mission est d’étudier (et favoriser) les conditions de réalisation et de développement d’un écovillage.
Novembre
Quelques pistes proposées :
– motivations, valeurs
– organisation, structures juridiques du foncier et des activités
– activités économiques
– partenaires et appuis institutionnels
– recherche de références législatives positives sur l’innovation écologique (matériaux de construction, eau et déchets, ... )
– communication du projet
– sociopsychologie interne de l’écovillage (rapports personnel / collectif, domestique / professionnel, ..)
– concepts micro-urbanisme / architecture d’ensemble adaptés.
Une autre dimension possible est très concrète et humaine : que dans l’Hérault, un groupe projet écovillage émergeant demande à bénéficier d’un suivi par le groupe TEP (ou par une personne de ce groupe) en tant que tiers facilitateur médiateur ...
Décembre
4 étudiants motivés se sont proposés pour ce TEP. Sabrina, Julie, Christian et Pierre.
Janvier
Les sujets suivants ont été définis plus précisément :
– Sabrina va réaliser un questionnaire de motivation pour les porteurs d’un projet avancé dans leur démarche et prêts à concrétiser. Les questions portent sur la vision du quotidien, sur le rapport privé / collectif, ...
– Julie va s’intéresser aux entreprises qui proposent des solutions de phytoépuration et les particuliers ou groupes qui ont mis en oeuvre des solutions à base de lagunage. Elle s’intéressera particulièrement aux rapports avec les administrations qui facilitent ou font obstacle. Elle étendra son étude à la gestion globale de l’eau.
– Christian, porteur d’un projet d’écovillage dans l’Hérault, va se pencher sur les aspects juridiques du capital de l’écovillage. Il tentera de définir une solution, et s’intéressera également aux aspects économiques. Il va contacter la Ferme du Collet, Biolopin, et l’Ecole du Suc.
– Après réflexion, Pierre doit choisir ou bien de s’intéresser aux démarches solidaires ou sociales des écovillages (hors normes ou insertion) ; ou bien il s’intéressera aux questions suivantes : comment une collectivité locale voit-elle l’arrivée d’un groupe constitué ? et : Comment un écovilllage s’intégre-t-il économiquement à un environnement ?
A suivre !
J’aimerais en savoir plus sur le travail que vous avez effectué. Merci de me contacter Albert FRINTZ