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Petite Chronique parue dans Passerelle Eco n°9

le 13 mars 2004

La Ferme du Collet

Activité Vernaculaire, Ecologie Cohérente, Convivialité, entraide, liberté, autonomie ...

A la ferme du Collet, nous nous essayons à un mode de vie qui remet en cause le développement industriel, en nous inspirant de sociétés vernaculaires pré-industrielles (conviviales). Depuis quelques mois, nous mettons en œuvre une "permaculture" : nous travaillons avec des chevaux ; cherchons des manières de cultiver sans labour, favorisons des plantes pérennes vivaces* qui nécessitent peu d’intrants (engrais, eau, travail, temps…). Nous nous efforçons de construire avec des matériaux locaux ou récupérés pour nous affranchir de la consommation d’industries.

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Quelle écologie radicale ?

Nous voulons ouvrir le débat car au sein du mouvement des écovillages en France, (RFEV, Oasis en tout Lieu…), ce point semble tabou. Les seuils d’écologie appliquée sont rarement explicités ou pas du tout pris en compte.

Peut-on parler d’écovillages, c’est à dire de villages écologiques, pour des boîtes à séminaires, des groupes essentiellement spiritualistes, des projets individuels, des groupes de consommateurs d’EDF ou de ses substituts ou encore de poisons alimentaires ?

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Pour se relier, échanger ou discuter : Contactez Bertrand et Katia Ollivier ; Françoise et Diego Arias 06230 La Penne, 04 93 05 88 93

Cet article a été composé à partir d’extaits des n°8 et 9 de la revue Passerelle Eco

Voir également
 en rubrique Autoconstruction l’article sur le Poullailler Serre construit en torchis (terre paille) à la ferme du Collet.

 en rubrique cuiseur solaire l’article sur 2 modèles de cuiseurs et chauffe eau solaires simples, mis en oeuvre à la Ferme du Collet.


7 votes

17 messages

  • La Ferme du Collet

    Le 17 novembre 2020, par Mélanie

    Bonjour, J’essaie de vous contactet depuis une semaine mais les mails et numéros trouvés sur internet ne fonctionnent plus. Pouvez-vous m’envoyer un mail valide svp. Merci

  • La Ferme du Collet

    Le 22 janvier 2014, par Piriou Michel

    Bonsoir,

    Il y a assez peu d’ouvrages traitant de la question des sociétés vernaculaires. L’auteur principal en France serait Serge Latouche. Je pense personnellement que les sociétés en déclin retourneront à un type ou plusieurs d’organisations vernaculaires. Il me semble que l’effondrement progressif va conduire à l’apparition d’agglomérations d’îlots, c’est à dire à une myriade de microsociétés de ce type avec chacune des caractéristiques propres et originales suivant les "valeurs" des individus et regroupements par affinités.

    Il serait intéressant d’avoir un échange de points de vue car je compte écrire un ouvrage sur ce sujet pour montrer les prémisses de l’après développement et historiquement la parenthèse entre l’effondrement qui va s’accélérer et l’émergence d’un équilibre, donc d’une nouvelle aventure humaine tributaire de son milieu, et devant le préserver pour se préserver elle-même. Donc adaptation permanente pour se maintenir en vie déjà. Nous pourrions y consacrer un peu de temps si vous le voulez bien...

    • La Ferme du Collet

      Le 23 janvier 2014, par Bertrand

      Bonjour Michel Merci pour l’intérèt que vous portez à notre projet. Vous pouvez m appeler au 04 93 03 27 81 pour en parler

      • Sociétés vernaculaires

        Le 23 janvier 2014, par Piriou Michel

        Bonjour Bertrand,

        Oui je peux vous appeler mais, je ne suis pas certain d’être aussi précis qu’à l’écrit, qui le laisse le temps de réfléchir et de prendre du recul. Je vais essayer de bien ordonner mon propos sachant que : ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément...(on va voir). Le mieux, si vous avez du temps, du moins un peu, serait de se parler le soir tranquillement à partir de 20h00. On peut réfléchir déjà à la définition que nous donnons chacun à "société vernaculaire" à partir de quel moment une société est de type vernaculaire et surtout ce qui fait qu’elle l’est ou pas. Un regroupement par "valeurs" ou bien par "affinités" ne correspond pas forcément à ce type de sociétés. Déjà c’est un bon début de fondation de savoir quelle matériau nous allons employer (comme pour une construction) brique à brique etc...pour être clair sur le vocabulaire et la définition des termes employés. Merci et à bientôt Michel

      • Additif ; sociétés vernaculaires

        Le 23 janvier 2014, par Piriou Michel

        Mon mail pour toutes personnes ayant des connaissances sur ce sujet et dans l’optique sinon la prospective envisagée :

        michel80@free.fr pour correspondre c’est mieux. Merci

  • > La Ferme du Collet

    Le 10 octobre 2005, par X

    Après un mois passé en 2004 à la ferme du Collet, je garde le ,souvenir d’une expérience enrichissante avec la famille Arias : Françoise, Diego, Aorinko et Nadiejda.Persévérence, créativité, contact enrichissant et chaleureux, simplicité, travaux divers selon la saison et au rythme, capacité de chacun. Apprendre quelque chose de simple comme faire du crépi en sable/chaux,quelle découverte pour moi ! Les oeufs simulateurs en plastic des poules récoltés la première fois n’ont jamais donné d’omelette !!!1 vrai pour 2 faux, j’étais peu fière... Chaque jour est une mine d’or d’informations, de connaissances sur les plantes ou un savoir faire petit ou grand.Cela vaut le détour et un temps d’arrêt pour respirer un air d’antan rustique et travailler autrement. DIXIT de Caroline V. de Vence.

  • > La Ferme du Collet

    Le 3 mai 2005, par quelqu'un qui lutte pour préserver la nature

    Je suis intéressée par le chauffe-eau solaire, pourriez-vous m’en dire plus sur la construction. Merci beaucoup

    • > La Ferme du Collet

      Le 27 janvier 2006, par leopold

      atelier-solaire.fr venez me voir dans mon atelier au Thor pour tout savoir sur un chauffe eau solaire simple et robuste.

  • > La Ferme du Collet

    Le 14 mars 2004, par Pierre-Marie LAFITTE

    Bonjour, je suis plus que d’accord avec cet article.
     Revenir à la nature en voulant y vivre c’est je crois avant tout passer la majorité de son temps à travailler dehors à construire, cultiver, récolter, s’occuper des animaux, etc..etc..
     "cultiver le citadin", faire de grandes réunions, faire des groupes de parole, faire venir les autres pour faire votre propre travail et partir en vacances l’été ne fera jamais un écovillage.
     je vois de plus en plus d’écologistes de bitume envahir nos campagnes, parler de ce qu’il faut faire et ne pas le faire. C’est pas nouveau, mais celà continue. La parole n’a d’intérêt que si elle se transforme en actes.
     Acheter des plats cuisinés BIO, des tomates BIO l’hiver et tout légume hors saison et venant de très loin par camion n’est pas une démarche BIO.
     Je suis peut-être dur, mais sachez que je parle d’expérience et que je fais toujours partie de ceux qui se retrouvent dehors pendant que les autres causent.......
     Bon courage à tous

     P M L

    • > La Ferme du Collet

      Le 17 mai 2004, par Denis

      Certes, NON à la logorrhée pseudo-intellectuelle de certains, qui se complaisent inlassablement dans leurs débats et dans leurs déclarations d’intention. Ces bavardages semblent souvent être des fins en soi. MAIS est-il judicieux de tomber dans le réflexe inverse ? "La parole n’a d’intérêt que si elle se transforme en acte" : Nuançons ... La parole n’a d’intérêt que si elle vient de personnes sincères, qui respectent leur parole, qui n’oublient pas de rester modestes, cohérents ... Ce serait une formule plus appropriée. Peut-être plus véritablement cruelle, d’ailleurs. Plus apte à pointer là où le bât blesse : la profonde inconsistance morale, l’absence de repères —basiques— de simple éducation, d’honnêteté, dans laquelle évolue l’ambiance soi-disante "alternative".

    • > La Ferme du Collet

      Le 23 juin 2007, par Makiko

      Bonjour et merci Pierre-marie,

      Moi aussi je suis fatigué des écolos-tendances qui ont plein des idées dans la tête mais les bras handicapés dès qu’il faut aller se pencher sur le terre.

      Je vois des pseudos-marginaux qui critique la sociéte de consommation mais gaspille leur énergie et le temps si précieux dans des entreprises loufoques parce qu’ils ne cultivent pas " la présence ".

      Actuellement je cherche un lieu de vie " Réaliste" ou m’investir quelques temps afin de vivre une expérience positive.

      A bientôt.

      Patrick

      • > La Ferme du Collet

        Le 14 avril 2008, par catie

        Je vous propose un lieu : la communauté de La Poudrière en Belgique à Bruxelles. cette expérience a été un enracinement de valeurs humaines bien que la vie soit imparfaite ... et toujours à construire ... Cette communauté fête cette année ces 50ans !

        Par contre , je n’ai pas l’adresse du site sous les yeux, en faisant une recherche sur ggogle, vous aurez le lien sans problème... Sinon envoyez moi un message et je chercherai et vous l’adresserai.

        Amitiés , Catie

    • > La Ferme du Collet

      Le 4 mars 2008, par simplement moi

      Bonjour je me permet d’intervenir au sujet de votre remarque sur le fait d’acheter des légumes qui auraient fait un long voyage en camion et que cette démarche n’est pas bio. Je voulais dire aussi que porter des vêtement tout simplement sur soi, a demandé le même état de fait à leurs fabrications et mise sur le marché. Pour en venir au constat que ce n’est pas la critique qui réunira les mentalités, en démontrant que moi je suis ce que vous n’êtes pas. Pour moi le bio est avant toutes cause personnelles, une réalité qui nous submerge, parce que nous avons tous la même maison, la terre. Arriver à faire cohabiter les esprits en vu d’éduquer les mentalités opposantes, est un premier pas au conservatisme des bons principes, quant aux procédés illicites dans la manière de produire, ils auront toute l’attention requise quand les conflits d’appartenances cesseront de vouloir éradiquer les partis et du bio, et du non bio. La réalité se trouve au sein d’une grande discussion qui dépasse le méandre des aprioris. La démarche bio, doit tenir compte des bases sur lesquels elle s’appuie pour avancer et progresser sans faillir. Etre bio devrait donc correspondre à un besoin de pacification non seulement avec la terre, mais aussi avec ses habitants, c’est une voie(x) d’humanisme et non un prétexte aux divers conflits. Alors pour les gens qui se veulent différents du reste, c’est en cultivant cette image de différence que l’éducation des plus réticents se fera dans le temps en douceur, comme un cycle saisonnier, et donc naturel, bon courage pour votre engagement personnel tout de même

      • tendez moi la main

        Le 8 juin 2008, par byker36

        Bonjour, je pense pour ma part qu’il faut laisser le temps à chacun de changer, je comprend bien qu’il y a urgence mais les esprits ne peuvent pas changer du jour au lendemain et si nous ne nous montrons pas tolérant les bonne volontés peuvent se décourager. Je ne suis, moi même, pas une super référence, mais je suis prèt depuis peu à changer de mode de vie, sauf que j’ai besoin de personnes comme vous qui vont me tendre la main .J’ai aujourd’hui un emploi, un appart "un confort de vie" (je ne suis pas SDF) et ne veux pas tout lacher pour l’inconnu, j’ai besoin de conseils, d’info pour être rassuré et franchir le pas. alors êtes vous prèt à me soutenir ? Merci pour la nature.

        • tendez moi la main

          Le 8 juin 2008, par Bertrand Ollivier

          Le chemin de l’affranchissement des conditionnements culturels et mauvaises habitudes, et des prises de conscience à matérialiser dans le concret est bien sûr long, semé d obstacles parfois ingrat. Chacun avance comme il peut depuis le point où il se trouve. J estime que mon devoir est aussi de creer des "passerelles" avec des personnes qui tendent la main en partageant nos experiences et connaissances, puisque moi même je tends la main régulièrement. A la ferme du collet nous essayons de le faire en permanence. Mais c est une question d equilibre, il ne faut pas que cela nous prenne un temps et une energie telle que cela empèche nos realisations ou nos taches quotidiennes. Et cela arrive fréquemment parce que le "décalage" entre les personnes est trop important : trop de choses a expliquer, trop de réactivité face a nos choix. On peut tendre la main a ceux qui ne sont pas trop "loin", si on se force a attraper la main de tout le monde .. on tombe.

          • tendez moi la main

            Le 1er juillet 2008, par michel

            Bonjour,

            Sera-til possible de s’installer pour un homme de 60 ans afin qu’il puisse enfin vivre comme vous et ne plus jamais contrarier sa nature.

            Merci

            • tendez moi la main

              Le 28 juin 2015, par Solange soleil

              Le problème se sont les autres... Si des oasis existent... Cela c’est une réalité...On peut en créer beaucoup... Le problème ce sont ceux qui convoiteront ces oasis et assez stupides bien sûr pour les détruire ou du moins incapables de les faire fonctionner.

              La solution serait beaucoup d’oasis sur un même territoire...Il faut donc espérer un changement graduel.

              L’espoir est permis, je crois, de ce côté là. Mais il faudrait que le déclin soit plus visible...avec de nombreuses pénuries.

              Ensuite, s’en tenir aux modèles sages comme ici...Donc il ne suffit pas qu’il existe des solutions, il faut aussi une mutation de l’homme pour rompre avec son évolution. C’est sans doute là le plus grand défi de demain pour l’humanité.

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