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le 28 juin 2003

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Agi’Magine, un oasis dans la Garigue

Université du Savoir et Eloge de l’Agir

Clara se présente

J’ai 38 ans et j’ai grandi à St Petersbourg. Arrivé en 78 en France comme réfugiée politique, j’ai fait plein de petits boulots, et j’ai étudié, le Bac, Arts Plastique puis la fac en Psychologie Cognitive. Pour ma maîtrise je suis partie à Montréal avec une bourse, et j’ai passé un doctorat là bas .

En parrallèle, je travaillais avec des associations (toxicomanie, prostitution masculine, ...), j’ai passé un an au Népal pour une association qui implantait des antennes médicales dans des villages reculés, et 6 mois dans les bidonvilles à Calcutta...

Ensuite j’ai travaillé aux USA et je suis souvent allé vivre dans des écovillages ou communautés comme il y en a plein là-bas. J’ai aussi vécu 3 mois dans un temple boudhiste zen, où j’ai été ordonnée nonne. Puis 6 mois dans une communauté laïque de lépreux, fondée par un disciple de Gandhi au plein coeur de l’Inde. Puis j’ai travaillé en Chine, car ma spécialité était : "les différences de logiques dans la résolution d’un problème complexe entre la culture latine et la culture chinoise". J’y suis resté un an, au milieu des terres en zone très surveillée.

Après plusieurs années à donner tout mon temps aux autres, j’ai voulu m’installer quelquepart, créer quelquechose, un lieu de vie.

A l’attention des lecteurs : attention ce projet n’est plus d’actualité car Clara a déménagé.

Pour l’actualité des écolieux de vie (écovillages, oasis en tous lieux, écohameaux et éco-habitats groupés, abonnez vous à la revue trimestrielle Passerelle Eco (téléchargez une présentation de la revue Passerelle Eco)

les travaux du jardin et du barrage
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Caroze pioche
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La fille de Domi bêche
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le barrage en construction
Je suis rentrée en France en 98. J’ai acheté le terrain en septembre 2000. Quelques hectares vraiment pas cher dans la Garrigue, avec le projet Agimagine. En France, c’est pas comme aux States où ya une grande liberté législative (mais ya une culture, ce qui manque là bas !). Un citoyen français très droit qui ferait comme on lui dit de faire n’arrivera à rien. Il faut avoir la force de se lancer, faire un travail de documentation, passer des jours à voir plein d’administratifs, découvrir les lois et directives, petit à petit,...

Finalement j’ai pu définir un projet agricole et obtenir 2 permis de construire. Plus il y aura de gens qui se lanceront dans des projets alternatifs, plus on arrivera à pousser du coude ces lois étouffantes qui les empêchent de se développer.

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Sur le terrain :fleur, cactus et bois mort...

Le lien ville campagne ?

Mon lieu est à 15 km de Montpellier, on y est en 20 minutes ! En général, je viens 2 jours en ville chaque semaine. Je vais parfois au café écolo du lundi soir, ou discutter dans les bars, ou dans la rue. Je vais à la ville pour la bibliothèque, et pour récupérer du matériel jeté dans les poubelles ou abandonné des chantiers : du bois, des gants, et même des sacs de chaux et de ciment, ... Je fais aussi mon courrier en ville, car j’ai pas le courage sinon, après une journée de travail sur le terrain. Et mon courrier internet aussi.

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Des citadins sur le terrain
pause 4h après une journée de chantier et découvertes

De la ville vers la campagne, j’amène ce que je trouve dans les poubelles. Et comme le potager n’a que 6 mois, j’amène des légumes et des céréales achetés à la coop bio. J’amène aussi les bouquins de la bibliothèque, et toutes les discussions que j’ai eu, pour me tenir compagnie car après je ne vais plus parler à personne pendant 5 jours parfois !

De la campagne à la ville : j’amène toute ma joie de vivre, mon enthousiasme,... des sachets d’épices et de plantes aromatique que j’ai cueilli et séché dans la garrigue, 2 à 3 kg d’épinards sauvage à chaque fois cet hiver.

Là, les pissenlits commencent à pousser. J’aimerais faire des échanges d’expériences et de personnes entre communautés d’Afrique, Inde, US, et France. Par exemple, avec un "musée vivant de la graine" en Guadeloupe.

Il y a une grande liberté dans le taoïsme. Réfléchir avant d’agir, mais être dans l’agir et pas dans la passivité critique. Je voudrais que tout le monde aie le droit de vie, de logement, d’alimentation et d’école, avec plein d’idées différentes !
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Clara construit le barrage qui formera une retenue d’eau
C’est comme ça qu,’on fait en Chine : une couche de gros rochers, une couche de petits cailloux et de glaise ! Les petits cailloux sont aussi importants que les gros...

Nos transmissions à ceux qui le cherchent

 créer des réserves et points d’eau

 la culture synergétique ou la méthode de Fukuoka.

le Projet Agi’Magine

En tant "qu’embellisseurs" de la vie et de la nature nous désirons ouvrir un centre de recherches, un lieu de vie, d’échanges internationaux, de visites, de stages et d’apprentissage sur la revalorisation de la garrigue et la possibilité d’y vivre.

Comment faire une oasis permanente à partir de rien (d’une terre cataloguée par les autorités de terres inculte, où ne peuvent agir que les incendies), sans rivière, sans habitat, juste quelques buissons épineux et du thym parfumant les collines.

En tant qu’êtres sociaux, humanistes, désireux de liberté, écologistes, en tant qu’êtres d’échanges, aimants, autonomes, évolutifs, vivants, nous désirons le droit à un toit pour tous et de ce fait nous préconisons l’autoconstruction ;

 Nous souhaitons le droit des peuples à se nourrir eux mêmes ;

 Nous désirons que tous puissent construire pour se construire ;

 Nous aimerions favoriser les énergies autonomes et locales pour contribuer à la paix mondiale et à la limitation de la pollution ;

 Nous proposons une vie d’amour entre êtres, d’harmonie, de non-violence, de non jugement, de joie de vivre, de sens, d’égalité, de non-dualité, d’équanimité, d’évolution constante ;

 nous préconisons la communication, l’échange de savoirs, de coups de main, de loisirs, d’activités créatrices ;

 Nous espérons l’apprentissage, le renouveau, la création tout au long de la vie, l’éveil, la curiosité et le développement de nos créativités artistiques sous les formes les plus diverses.

Sur le site, l’aspect individuel et la responsabilité des projets de chacun est le plus important, le collectif ou le communautaire est accessoire, expérimental.

Chacun aura une habitation bien séparée et devra avoir sa spécialité pour être autonome et éviter les conflits.

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Cassecroute devant la cabane

Ici, cette cabane temporaire en matériaux de récupération a coûté 600F.

Pour une habitation définitive, il faut compter 3000F. Dans la région, il faut 50m² de toit pour recueillir l’eau nécesaire pour vivre toute l’année.

Si une personne veut s’installer et n’a pas d’argent, je lui loue des terrains à prix symbolique. Charge à elle de construire son habitat et de créer sa spécificité. Si elle a de l’argent, alors, le mieux est d’acheter les 6 hectares qui prolongent mon terrain, à 5F le m² avec de la forêt.

A l’attention des lecteurs : ce projet n’est plus valable car Clara a déménagé.

 si vous êtes intéressés par l’autoconstruction, consultez la rubrique autoconstruction-ecoconstruction

 retrouvez l’actualité des écolieux dans la revue Passerelle Eco

Contacts : c’est pas facile de joindre Clara... Elle ne souhaite pas être dérangée inutilement et merci de ne pas l’appeler si vous souhaitez seulement discuter ou partager vos états d’âme, si vous n’avez aucune expérience de ce dont vous voulez parler, ou si vous n’êtes pas 100% prêt dés aujourd’hui à aménager dans la garrigue ... sans aménagements !

Vos messages sur cette page ont peu de chance d’avoir une réponse. Avec un peu de chance, un email lui parviendra à l’adresse cielterre@yahoo.com ou yahoo.fr sinon.

Par téléphone vous pourrez lui laisser un message ou même l’avoir directement au 04 67 64 61 11 ou au 06 23 28 92 99...


8 votes

11 messages

  • Témoignage de Konstanz

    Le 7 avril 2004, par X

    May 2001, de Constanze Essler, Volontarienne chez Agirmagine

    Der Baum ist eine Chene Vert, er hat mehrere Stämme und ein offenes Geäst, darüber ist ein Dach aus Blättern. Der Baum steht am Hang im Halbschatten einer grösseren Baumgruppe, die sich bis zum Bach hinunter erstreckt. Der Baum lädt ein zum Aufenthalt, zum Pausieren und zum Schlafen. Warum es sich nicht ein bischen gemütlich machen unter dem Baum ?

    Gedacht, getan. Schnell sind die toten Äste abgesägt und ein kleines Mäuerchen am Hang hält die Erde für eine ebene Fläche, auf der eine alte Matratze Platz hat. Ein weiteres Mäuerchen am Hang vergrössert die Fläche unter dem Baum Richtung Norden. Eine Fläche mit Abendsonne und Schatten über den Tag. Unterhalb des Bettes, findet sich an einem ausladenden Ast genau die richtige Stelle am Hang für einen kaputten Korbsessel, der sich aufgehängt an drei Seilen zu einer Panoramaschaukel verwandelt. Ein Stuhl und ein kleines Tableau, das zwischen zwei Ästen Halt findet bieten Ablagefläche und Sitzmöglichkeit, zum Beispiel um ein Bild von dem Ganzen zu malen.

    Voilà, schon hat man einen neuen Ort geschaffen, an dem es sich gut leben lässt, mitten in der Natur, nur 20 km von Monpellier entfernt. Mein erstes eigenes kleines Projekt auf dem Gelände von Agirmagine. Hier wird der Lebensraum ähnlich wie unter dem Baum im Einklang mit den vorhandenen natürlichen Begebenheiten gestaltet. Minimale Veränderungen reichen aus, um den gewünschten Effekt zu erzielen. Ein sehr ästethischer Umgang mit der Natur ohne Raubbau und grössere Eingriffe.

    Noch dreimal darf ich unter „meinem“ Baum schlafen, dann schwinge ich mich auf mein Fahrrad und fahre weiter auf meiner Tour um weitere Projekte in den Cevennen kennenzulernen.

    Die vier Wochen bei Clara und Veronique haben mir sehr gutgetan. Agirmagine ist ein Ort mit viel positiver Energie, Energie zum Nachdenken, zum Loslassen und zum Abstand gewinnen von all den Kleinigkeiten, mit denen man es sich tagtäglich selber schwer macht.

    Es ist unglaublich, wie wenig man braucht um ein zufriedenes Leben zu führen. Es ist so einfach, ohne Wasser und ohne Strom zu leben. Das Geräusch einer Klospülung oder eines Durchlauferhitzers wird dieser Ort hier niemals hören. Dafür gibt es abends ein Froschkonzert, morgends die Vögel und tagsüber den Kuckuck zu hören, der mich wirklich chier macht mit seinen zwei Tönen, die er meint stundenlang allen anderen zumuten zu können. Er fragt nicht, ob es genehm ist, wenn er singt, er folgt seinem Instinkt und ruft sein Kuckuck mal von diesem Baum, mal von Jenem. Auch die zwei Katzen aus der Stadt fühlen sich hier pudelwohl und folgen ihrem Instinkt, der sie Mäuse fangen lässt und sie zu weiten Spaziergängen im Revier animiert.

    Ein bischen geht es mir so wie den Katzen. Vier Wochen bei Agirmagine und ein Leben in der Stadt wird zur Unmöglichkeit. Ein Leben in Wänden, die alle rechtwinklig sind und mit einer Arbeit, von der nur andere profitieren, gefangen in einem Zeitkorsett, das nicht meinem persönlichen Rhythmus entspricht.

    Unter meinem Baum habe ich noch keinen rechten Winkel gesehen. Wenn ich abends einschlafe sehe ich die Sterne und morgends wenn ich aufwache das Blätterdach der Chene Vert und das aktuelle Wetter von heute.

    Auch die Arbeit hier ist mit Lohnarbeit nicht vergleichbar. Die Arbeit umgibt einen ständig, man lebt nicht nach der Arbeit sondern mit ihr. Das Schöne daran ist, dass man jeden Tag sieht, was man getan hat. Das Terrain ist abends beim Einschlafen ein anderes als am Morgen. Der Lebensraum wird in der Natur gestaltet. Zum Waschen gehe ich durch das Beet, das ich am Tag vorher angelegt habe, die Toilette ist beim Kompost, der gewendet werden muss und der Weg zur Cabane führt am dem Terassement für ein Haus entlang, an dem ich den grössten Teil meiner Zeit hier gearbeitet habe.

    Die Arbeit mit der Pioche am Terassement hat mir besonders gut gefallen. Zentimeter für Zentimeter gräbt man sich mit der Pioche in den Hang. Mal sind es Felsen, auf die die Pioche trifft, mal ist es Kies, immer sind es Steine. Aus den Steinen wird eine Mauer gebaut, die das Terrassement gegen den Hang abstützt. Das sieht sehr schön aus, da so das Haus in den Hang integriert wird als gehöre es schon immer dazu. Ein Haus ganz mit der Hand gebaut, hat Klara gesagt, ohne Maschinen, in Harmonie mit der Natur. Ich denke an die Harmonie, wenn ich morgends mit schmerzenden Händen aufwache. Die Fingermuskeln und Gelenke sind einfach überfordert, wenn sie tagtäglich die Pioche in den Fels fallen lassen. Die Harmonie ist hier vorhanden, doch sie bedeutet auch harte Arbeit, die einen merken lässt, dass man einen Körper hat.

    Aber es muss ja nicht immer harte körperliche Arbeit sein. Eine Tätigkeit zu finden, zu der man gerade Lust hat, ist hier kein Problem. Man kann wie Clara eine Dusche bauen oder ein Dach aus Schilf. Veronique richtet sich ein Atelier für die Kunst ein und einen Nachmittag faul in der Sonne zu verbringen kann auch eine befriedigende Tätigkeit sein. Oder man repariert Sachen, die Clara vom Müll mitgebracht hat. Die Cabane ist ausschliesslich aus „unnützem“ Material gebaut, das niemand mehr haben wollte. Hier bei Agirmagine ist es hochwertiger Bestandteil einer Hütte, die wind- und wetterfest ist und die man im Winter beheizen kann. Dazu ist sie sehr gemütlich.

    Mein Französisch könnte nach vier Wochen sprechen wirklich besser sein, aber das Wort tranquille habe ich mir gut merken können. Genau das ist es hier, tranquille. Unkompliziert, da hier die einfachen Dinge einen Reichtum bedeuten, der sich mit Geld nicht aufwiegen lässt ; frisch aufgebrühter Tisan, die Gewohnheit sich abends in einem See zu waschen und das Froschkonzert unter dem Sternenhimmel.

    Dem ganzen vielfältigen Leben auf dieser Erde ein bischen nahe zu sein, bedeutet auch sich selber nahe zu sein. Das ist ein Gefühl, das kein Buch uns kein Artikel vermitteln kann. Jede und Jeder muss es selbst spüren und selbst für sich herausfinden.

  • > Agi’Magine, un oasis dans la Garigue

    Le 18 décembre 2003, par Samuel

    Bonjour Clara

    Après avoir lu l’article, je pense que je pourrais me joindre à l’équipe d’Agi Magine, son travail et son esprit correspondant à mes aspiration. J’aimerais donc vous rencontrer tous dés que possible et en ce moment j’essaie désespéremment de te joindre. peux tu me proposer un rendez-vous en m’appellant au 06 71 89 89 96 ? merci.

  • > Agi’Magine, un oasis dans la Garigue

    Le 7 décembre 2003, par Alain

    Bonjour Clara Ton experience ma touché, et je me sens concerne par tes projets. Mon reve est te fuire la region parisienne ou je me trouve en se moment. Malheureusement faute de moyen financier et de courage peut-etre je suis encore au milieu des tours de beton. Mon seul espoir serait de vendre mon appartement (que je n’ai pas fini de payer) pour partir. Tu parlais d’un terrain pret du tien a vendre, ou eventuellemnt d’une location possible. Es ce constructible ? Les lois sont elles contournable ? En esperant te lire prochainement. Alain amary@voila.fr

  • > Agi’Magine, un oasis dans la Garigue

    Le 3 novembre 2003, par chantal

    bonjour Clara je m’appelle Chantal, j’ai 55 ans

    j’ai vécu pas mal d’aventures aussi, assez différentes des tiennes, mais aujourd’hui j’ai le même point de vue sur la nécessité de vivre de façon la plus autonome et simple possible

    je vais travailler en novembre avec quelqu’un qui installe des systèmes de récupération d’eau de pluie, toilettes séches et phytoépuration

    après, j’aimerais pouvoir te rencontrer car je cherche un lieu et des personnes avec qui créer un lieu d’échanges et de pratiques et installer une petite maison autoconstruite en paille ou en bois

    peux tu me répondre sur ce mail : chantal.a14@caramail.com

    merci chantal

  • > Agi’Magine, un oasis dans la Garigue

    Le 15 juillet 2003, par X

    Bonjour, Clara

    Je m’appelle Joyce, j’habite en Saône et Loire. Tes projets et actions m’interpellent. Peux-tu me donner ton adresse postale, afin que je t’écrive ? J’ai le projet de transiter avec mon fils, qui a trois ans et demi, dans quelques temps, quand le moment sera favorable. Peut-être serai-je intéressée de te rendre visite. Mon E-mail : markoll_joyce@yahoo.fr. En attendant, tout le meilleur. Joyce.

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