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le 28 janvier 2004

Les Blogs

Chronique : 4 journées en nucléocratie

Jeudi 18 décembre 2003

Uranium : le volet nucléaire de la « Françafrique »

Pour "nourrir" en uranium nos merveilleuses centrales nucléaires, la lobby nucléaire français commet des crimes en Afrique. Contre les populations locales, contre l’environnement, contre la démocratie. Cela a commencé dès les années 60, et ça continue encore actuellement. C’est le volet nucléaire de la "Françafrique", ce système mafieux qui permet à la France de continuer le pillage de l’Afrique, comme du temps des colonies.

La Criirad, courageuse organisation indépendante, a organisé une mission au Niger pour voir comment s’y passe l’exploitation (c’est le bon mot !) de l’ uranium par la multinationale radioactive Areva et sa filiale Cogéma. Le bilan est effarant. Je vous invite à lire le compte-rendu sur le site web www.criirad.org . Et voici quelques éléments :

Le 3 décembre, dès leur arrivée à l’aéroport de Niamey, les représentants de la Criirad étaient fouillés -les seuls à l’être -, et leur matériel de mesure confisqué. La mission a été maintenue malgré ces graves difficultés, et parvenait à établir quelques éléments saisissants :

L’exploitation de l’uranium échappe largement au contrôle de l’Etat nigérien. Le ministère des Mines est sous-équipé et doit se contenter, pour l’essentiel, de lire les rapports établis par les exploitants. Le suivi des mineurs est effectué par la société ALGADE ... filiale 100% de la Cogéma !

Les résidus (déchets d’extraction de l’élément uranium) qui se présentent sous forme de sable fin particulièrement radiotoxique, constituent de véritables montagnes, les seules à animer le paysage. Les sociétés minières n’ont même pas fait l’effort de creuser le sol pour y enfouir les déchets et les protéger un minimum de l’érosion éolienne.

Les investigations conduites à l’aide d’un petit radiamètre (qui a échappé à la confiscation !) dans le cadre de la formation dispensée aux membres d’ Aghir in’man ont permis de mettre le doigt sur un problème très sérieux : la dispersion des ferrailles contaminées. Compte tenu du niveau de vie très bas de la population nigérienne, tout est susceptible d’être récupéré et utilisé pour la construction des maisons, de l’outillage, des ustensiles de cuisine, etc. Il est donc impératif de contrôler de façon extrêmement rigoureuse la sortie des matériaux : ce n’est visiblement pas le cas.

Cette mission n’était qu’exploratoire et les efforts déployés pour la faire échouer n’ont fait que renforcer la détermination de la Criirad à aider les populations locales à contrôler leur environnement et leur état de santé. La Criirad va également prendre contact avec des associations et responsables du Gabon. En effet, entre 1960 et 1999, la Cogéma a extrait près de 27 000 tonnes d’uranium des mines gabonaises et cet Etat se trouve aujourd’hui démuni face aux millions de tonnes de déchets radioactifs générés par ces activités. Les autorités nigériennes qui ont visité ces sites s’inquiètent désormais de ce qui les attend quand l’exploitation prendra fin. Quelle destination pour les résidus radioactifs accumulés en véritables montagnes, constituées à même le sol ? Quel suivi et avec quel argent pour des déchets radioactifs dont la dangerosité va durer sur des centaines de milliers voire de milliards d’années ? Quelles compensation pour l’assèchement de la nappe phréatique fossile (non renouvelable de la région d’Arlit) ? etc.

Compte tenu des bénéfice que tire la France de l’exploitation minière au Niger, il importe que les français se mobilisent pour aider les citoyens de ce pays à défendre leurs droits : droit à une surveillance des activités à risques par leur propre gouvernement, droit à la réalisation de contrôles indépendants, droit à la gestion correcte des déchets à risque, droit à l’ information, droit à la préservation de leur environnement et de leur santé.

Voilà un petit aperçu saisissant. La Criirad va tenter d’organiser de nouvelles missions. Le Réseau « Sortir du nucléaire » a bien besoin de vos dons et cotisations mais, sincèrement, je pense que tout chèque envoyé à la Criirad sera aussi extrêmement utile. Qu’on se le dise !


Jeudi 15 janvier 2004

Anne Lauvergeon, la femme qui volait 6 milliards

Anne Lauvergeon va nous coûter très cher. La puissante PDG d’Areva a donné ses ordres au gouvernement français : EDF, avec l’argent de nos factures, doit acheter un réacteur nucléaire EPR. Justement, ça tombe « bien », c’est Areva qui doit fabriquer ce joujou ! Coût : 3 milliards d’euros. Peu importe que la France n’ait aucunement besoin de nouveaux moyens de production d’ électricité, l’essentiel semble être d’empêcher tout investissement dans les énergies renouvelables et, simultanément, de « doper » la carrière de la dame.

Une seconde information tout aussi importante, tant sur le plan industriel que financier, est passée presque inaperçue : le 26 novembre, Mme Lauvergeon a annoncé la construction d’une nouvelle usine de préparation du combustible nucléaire, plus précisément d’enrichissement de l’uranium. Coût : là aussi, 3 milliards d’euros. Une paille !

Actuellement, les barres d’uranium enrichi qui servent dans le coeur des réacteurs nucléaires français sont préparées dans la Drôme à Eurodif, usine voisine de la centrale nucléaire de Tricastin... dont elle absorbe quasiment toute la production ! Eurodif, rebaptisée "Georges Besse" en 1986, doit fermer ses portes en 2012. Il faut prendre la mesure de l’évènement : avec son annonce, Anne Lauvergeon a tout simplement signifié qu’elle avait, à elle seule, tranché le débat de société sur le nucléaire : construire une nouvelle usine de combustible, cela revient bien à décider que le nucléaire va continuer en France, quoi qu’en pensent les citoyens ! Certes, l’uranium enrichi s’exporte, mais le marché français est bien le premier débouché d’ Eurodif.

L’ancienne « sherpa » de François Mitterrand a pris quelques précautions, avec un cynisme digne de son ancien mentor : pour faire son annonce, elle a choisi le jour du choix du site européen candidat pour recevoir le réacteur ITER (fusion nucléaire). Flash-back : « Les Quinze doivent trancher, mercredi 26 novembre, entre Cadarache (Bouches-du-Rhône) et Vandellos (Catalogne) pour proposer un site d’accueil de la machine expérimentale face à la candidature japonaise. Ce projet nécessitera un investissement de 10 milliards d’euros sur trente ans. ». Rappelez-vous, c’était la folie médiatique. « Le soleil domestiqué à Cadarache », « La puissance des étoiles maîtrisée », etc...

On n’entendait parler que de ça. Mme Lauvergeon pouvait être sûre que son annonce allait passer inaperçue, alors qu’elle a une triple signification d’ une importance pourtant fondamentale :

 la PDG d’Areva a décidée à elle seule la relance du nucléaire.

 l’enrichissement de l’uranium par « diffusion gazeuse », technique utilisée depuis 20 ans par Eurodif, est abandonné : trop cher, trop de consommation d’électricité. Encore un fiasco que nous avons financé !

 la technique retenue pour la nouvelle usine est la « centrifugation », alors que 5 milliards de francs ont été investis depuis dix ans pour mettre au point l’enrichissement « par laser ». Encore un fiasco que nous finançons... et que nous risquons bien de continuer à financer malgré tout : en ce 15 janvier 2004, le Commissriat à l’énergie atomique (CEA) communique  : « Enrichissement de l’uranium : le laser n’a pas dit son dernier mot ! (...)

En France, un plan de recherche sur 4 ans a été décidé en 2000 dans le but de réaliser, sur le site du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Pierrelatte, un démonstrateur intégré à l’échelle représentative du procédé Silva (Séparation isotopique par laser de la vapeur atomique). Ce programme a pu démontrer la faisabilité et le potentiel technique du dispositif. Quelque 200 kg d’uranium enrichi à teneur isotopique significative ont notamment été produits en novembre 2003, avec environ une tonne d’uranium appauvri obtenue en parallèle. A l’avenir, il est fort probable que le procédé d’enrichissement par laser bénéficie d’évolutions dans les domaines des lasers industriels et de l’optique qui permettront de confirmer ses capacités. »

De toute évidence, nous n’avons pas fini de payer, très chères, les déroutes technologiques du lobby nucléaire. Ces sommes s’ajoutent aux 6 milliards d’euros que Madame Lauvergeon s’apprête à voler aux citoyens : 3 milliards pour l’EPR, et 3 milliards pour... "Georges Besse 2". Car la nouvelle usine d’enrichissement d’uranium portera elle aussi le nom de l’ex-Pdg de Renault. Au fait, pourquoi cet hommage ? Rendez-vous à la chronique suivante pour découvrir un des plus dramatiques scandales du nucléaire français...


Vendredi 16 janvier 2004

Giscard, Chirac, Mitterrand, le Shah d’Iran, Khomeyni, Saddam Hussein... et le nucléaire français

28 juin 1974. Centre nucléaire de Marcoule (Gard). Le tout fraîchement élu Président de la République française, un certain Valery Giscard d’Estaing, et son premier ministre Jacques Chirac, reçoivent le Shah, souverain du richissime Iran. Quelques temps plus tard, un accord est conclu pour financer la construction d’Eurodif, usine d’enrichissement d’uranium, absolument indispensable pour alimenter les 58 réacteurs nucléaires que la France va construire ! L’Iran prend 10% des parts de l’usine et prête un milliard de dollars au Commissariat à l’énergie atomique. En échange, la France s’engage à fournir à l’Iran 10% de la production d’uranium enrichi.

Jamais avares d’une bonne plaisanterie, Valery et Jacques prétendent qu’il n’y a là que commerce de technologie civile. Le Shah d’Iran ne cache pas, lui, que l’accord prévoit aussi une aide pour lui permettre d’acquérir la bombe atomique et simultanément le statut de grande puissance régionale. Patatras ! Les USA, bienveillants jusque là, changent d’avis et aident la révolution islamique à renverser le régime. Les évènements s’enchaînent alors :

 5 février 1979 : Khomeyni arrive à Téhéran grâce à un avion affrété par la France où vivait l’ayatollah depuis des années.

 Avril 1979 : le premier ministre français, Raymond Barre, inaugure Eurodif

 Septembre 1980 : l’Irak de Saddam Hussein envahit l’Iran

Or, la France ne veut plus respecter ses engagements et livrer de l’uranium enrichi à Khomeyni. Pourtant, simultanément, elle fournit massivement l’Irak en armes conventionnelles. Pire : depuis 1974, la France aide Saddam Hussein à acquérir l’arme atomique. Dès septembre 74, un certain Jacques Chirac, premier ministre, rencontre Saddam Hussein. Ce dernier vient en septembre 1975 à Paris pour une visite officielle qui comprend la visite du site nucléaire de Cadarache. Un accord franco-irakien est signé le 18 novembre 1975. Si Saddam Hussein n’a pas réussi à fabriquer de bombes atomiques, ce n ’est pas à cause de la France qui n’a pas ménagé ses efforts pour aider le dictateur ! Mais, au début des années 80, personne ne sait si Saddam va réussir ou échouer. En pleine guerre contre l’Irak, c’est insupportable pour l’Iran qui, logiquement, exige de la France qu’elle respecte ses engagements : fourniture d’uranium enrichi et remboursement d’un milliard de dollars.

De 1983 à 1986, des bombes explosent dans de grands magasins parisiens. Des journalistes sont enlevés au Liban. Aux citoyens, on explique que de méchants islamistes veulent du mal à la civilisation occidentale, et on cache la responsabilité écrasante du lobby nucléaire.

Le 17 septembre 1986, la France verse 330 millions de francs à l’Iran et, simultanément, le journaliste Marcel Carton est libéré. Mais, toujours le même jour (oui, vous lisez bien : le même jour ! Quel « hasard » !), le PDG de Renault, Georges Besse, est assassiné par Action directe. Certes, il s’agissait certainement de la part de cette organisation de « punir un grand patron ». Mais, semble-t-il, Action directe était manipulée : l’Iran exigeait de la France l’application de la partie nucléaire de l’accord passé du temps du Shah. Or Georges Besse n’était PDG de Renault que depuis quelques temps. Auparavant, il était tout simplement... l’homme qui avait dirigé la construction et les premières années de fonctionnement de l’usine Eurodif ! Est-il besoin d’en rajouter ?

 6 mai 1988 : entre les deux tours de l’élection présidentielle, le premier ministre Jacques Chirac assure l’Iran de "garanties politiques sur l’octroi sans restrictions par le gouvernement français de licence d’exportation d’Uranium enrichi". Les otages français au Liban sont "miraculeusement" libérés. Mitterrand, Chirac, Giscard, Barre... personne n’a dit la vérité aux français : les petites aventures du lobby nucléaire français nous coûtent cher. En argent, et en sang.

Mme Lauvergeon n’en a cure. Avec le plus grand des mépris, elle a décidé de faire construire une nouvelle usine d’enrichissement d’Uranium, et de l’ appeler... « Georges Besse 2 ». Il faudrait savoir ce qu’en pensent les survivants des attentats des années 80 à Paris, les familles des victimes.

Mais la PDG d’Areva se veut rassurante : l’Iran ne sera pas actionnaire de cette nouvelle usine. On oublie tout et on repart pour cent ans de nucléaire ?


Samedi 17 janvier 2004

Signes ostensibles d’adoration de l’atome

Cela faisait des mois qu’une manifestation nationale contre la construction de nouveaux réacteurs nucléaires était prévue pour ce samedi 17 janvier à Paris. Curieusement, vers la mi-décembre, une autre manifestation a été annoncée pour le même jour, à la même heure, et avec un départ situé au même endroit, place de La République. Objectif : protester contre le projet gouvernemental de loi sur les signes religieux ostensibles. Appelée par le groupusculaire Parti des musulmans de France, il s’agissait bel et bien d’une manifestation « pour le voile islamique ».

Je me garderai bien de donner mon opinion sur la question de la laïcité et sur celle du voile. J’ai bien un avis, comme toute le monde, mais attention à ne pas brouiller le message antinucléaire.

Par contre, il est très intéressant de s’interroger sur la façon dont le sujet est traité par le gouvernement. Et surtout instrumentalisé. On peut toujours envisager qu’il y a quelques intention machiavélique à faire surgir cette loi à l’approche d’élections. Faire monter le Front national ? Au contraire lui « damer le pion » en étalant un grande fermeté vis-à-vis des musulmans ? Qui sait...

En tout cas, une chose est sûre : il y a des petits malins qui ont imaginé pouvoir faire d’une pierre deux coups : agiter « l’épouvantail » du voile et, dans le même temps... « jeter le voile » sur la manifestation antinucléaire. Je ne suis pas loin de penser que c’est au ministère de l’ intérieur qu’a été choisie la date de la manifestation « pro-voile ». Ainsi que l’heure, et le lieu de départ, même si ce dernier a été déplacé au dernier moment.

Ajoutez à cela les manipulations des renseignements généraux qui, pendant des semaines ont « prévu » à peine 3000 manifestants antinucléaires et, au contraire, jusqu’à 20 000 « pour le voile », et le tour était joué : avant, pendant, et après le 17 janvier, les médias se sont principalement focalisés sur le voile : immenses photos de jeunes femmes voilées à la une de la presse écrite, reportages télévisés, etc...

Or, avec une participation incontestablement située entre 10 000 et 15 000 manifestants, la manifestation contre le réacteur nucléaire EPR a connu un important succès. Il ne s’agit pas de « rivaliser » avec l’autre manifestation, mais les estimations la concernant vont de 15000 à moins de 4000 ! Peu importe : ce qui et sûr, c’est que la manif antinucléaire « méritait » une couverture médiatique au moins aussi importante que celle du voile. Notons qu’il y a toute de même eu de bons articles et des reportages assez consistants sur la plupart des chaînes télévisées.

Et puis, surtout, les manipulateurs gouvernementaux oublient un aspect fondamental : au-delà du relais médiatique, le mouvement citoyen engagé contre la relance du nucléaire a pu mesurer ses capacités de mobilisation : près de 15 000 manifestants, en dehors de toute actualité sur le nucléaire, c’est immense !

L’actualité nucléaire, parlons-en : le projet de loi sur l’énergie, voire même l’annonce de la construction du réacteur EPR, cela devait avoir lieu fin 2003 ou au plus tard au tout début 2004. Rien de tout cela ne s’est produit. Serait-ce nous accorder trop d’importance que de penser que tout a été repoussé à plus tard, justement pour ne pas « doper » la manifestation ?

Peut-être. Pourtant, il y a eu aussi cette manoeuvre consistant à « jeter le voile sur la relance du nucléaire ». Ca fait beaucoup. Je ne sais pas pour vous, mais moi je suis persuadé que le lobby nucléaire nous craint. Parce que nous n’avons rien à vendre, pas d’intérêts à défendre, de contrats en jeu. Parce que, tels Astérix et ses amis gaulois, nous avons une « potion magique » : un mélange d’éthique, de morale, de dignité. Et d’obstination.

En attendant, nous dénonçons la religion du nucléaire. Alors que l’environnement risque d’être sacrifié sur l’autel atomique, nous n’acceptons pas les signes ostensibles d’adoration de l’atome de la part du gouvernement. La mobilisation va monter en puissance et empêcher la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, véritables cathédrales des intégristes atomiques. Le vent souffle pour nous, il gonfle nos... voiles !


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