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Nouvelles d’un collectif agricole

le 21 octobre 2010

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Cravirola is not Dead !

Les habitants tiennent bon la barre !

Reste-t-il encore quelques résistants pour tenir la baraque ou sont-ils tous partis se planquer dans la garrigue ?

Et bien non, on est là ! On continue l’aventure, et que tout le monde se rassure, on sera là tant qu’on nous aura pas mis dehors. Il y a que le collectif sort tout juste d’une crise sans précédent qui aurait bien pu faire chavirer le navire. On s’explique.

Mais que se passe-t-il au maquis ?

Cela fait maintenant plus de trois ans que le bateau turbine à plein moteur pour faire grandir une expérience sociale et écologique mêlant autogestion, agriculture paysanne, libre association, lien ville-campagne, ... Trois années de chantiers et de labeur quotidien, de confiance et de doutes, de hauts et de bas, mais aussi, trois années de surmenage pour rendre viable économiquement la structure et faire face à la charge des emprunts liés à l’achat du lieu. L’équipage s’est donc concentré pour éviter icebergs et récifs et tenir la barre pendant les tempêtes.

Trois années captivantes mais qui ont usé physiquement et moralement les permanents, faisant s’étioler le collectif jusqu’à faire perdre les convictions et le sourire à une grande partie de ceux qui restaient. Alors, nous nous sommes posés la question d’arrêter, de revendre, et pour ceux qui étaient motivés de reformer un collectif pour faire vivre ailleurs l’esprit de Cravirola.

Réinventer le projet

Ce constat d’impasse dans l’évolution humaine du collectif face à l’ambition du projet n’a pas été accepté par Axel, un des piliers porteurs à l’origine de Cravirola. Axel qui a toujours mis sa détermination et son énergie sportive pour que les choses avancent, qui a souvent été l’élément moteur et a endossé nombre de tâches « ingrates » n’a donc pas pu se rallier à l’idée de réinventer le projet en tenant compte des forces et des limites humaines. Ceci a conduit à son retrait au mois de mai, ce qui a été un nouveau coup dur pour l’ensemble de l’équipe.

Katia qui s’occupait d’une grande partie de l’administration du maquis, a aussi souhaité prendre du recul. Elle est toujours là pour accompagner former et transmettre mais souhaite quitter petit à petit la coopérative.

Seuls, nous aurions certainement décidé de mettre la clef sous la porte. Cette aventure n’aurait d’ailleurs ni pu voir le jour ni continuer sans votre présence, votre soutien, votre bienveillance qui alimentent notre motivation, notre envie de concrétiser et divulguer un autre mode de vie loin de l’individualisme et du matérialisme ambiants. Et encore une fois, c’est vous tous, voisins, amis, compagnons, volontaires, campeurs, actionnaires de Terres Communes, qui nous avez soutenus et donnés la force de surmonter ce moment difficile. Ce fut comme une unanimité pour nous dire : NE LÂCHEZ PAS ! Eh bien, on n’a pas lâché !!!

Enflammer à nouveau le maquis !

Malgré le départ d’Axel, le collectif s’est renforcé par la re-motivation de la grande majorité des permanents, et a embarqué officiellement Murielle, Vincent et leurs filles dans le bateau.

Ressoudée, l’équipe présente a préparé l’été en redoublant de confiance, d’énergie et de bonne humeur pour finir les nouveaux aménagements et remettre en place le nécessaire pour « enflammer le maquis » sans trop de risques pour vous, pour nous et pour l’environnement : de splendides robinets incendie armés jalonnent maintenant le camping (1,5 km de tranchées cet hiver !), une réserve d’eau qui assure notre autonomie en cas de coupure d’eau prolongée, des douches solaires deuxième génération qui côtoient des éviers colorés donnant des envies de vaisselle ! Tout y est pour vous accueillir au mieux...

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A propos, si cela vous dit de finir l’été en beauté, il nous reste de la place à partir du 15 août... Suffisamment nombreux au maquis, nous parviendrons à narguer les jours qui raccourcissent et l’odeur de rentrée qui se profile, en chantant, en dansant, en jouant de la musique et en se serrant pour faire remonter la température !

Et après l’été, qu’est-ce qu’on devient ?

Après l’été, viendra le temps des questions ... Comment reposer les valeurs qui ont fait le ciment de Cravirola ? Comment est-il possible dans toute la diversité du collectif de cultiver l’épanouissement de chacun de ses membres ? Ce qui signifie concrètement : éviter le surmenage - même si le collectif de bourlingueurs que nous sommes est toujours prêt à encaisser des périodes de travail intense - prendre le temps pour discuter d’autre chose que « Le projet », de nos implications sociales, pour jouer de la musique, s’occuper de Suzie et Gaby, prendre le temps de « faire bien » ce que nous voulons réaliser, et éviter la frustration d’un travail mal fait ou inachevé, ...

Et puis, il faudra bien parler de l’économie... Nous savons désormais qu’il sera très difficile avec notre économie actuelle, diversifiée mais peu productive, d’assurer à la fois le fonctionnement, les mises aux normes, les remboursements d’emprunts et le développement du lieu même en augmentant et en optimisant l’activité. Pour nous donner les moyens de résister, il nous faut donc diversifier les ressources en allant chercher d’autres financements (subventions, fondations, dons) que ceux générés par l’activité.

Plus que jamais nous comptons sur vos sourires, votre énergie, et votre aide, aide sans laquelle rien n’aurait été et ne sera possible ! Vous pouvez aussi devenir actionnaire solidaire de Terres Communes ou soutenir l’association Culture du maquis (cliquer sur le lien pour télécharger le bulletin de soutien) pour participer, selon vos moyens, à la pérennité et au renforcement de ce lieu d’expérimentation et de résistance paysanne, sociale et culturelle...Cultivons ensemble le maquis ! Cravirola is not Dead   Bulletin de soutien

Note de la rédaction Passerelle Eco : Cette lettre de la Cravirola a suscité un commentaire de Axel, intitulé "Putsch et trahison". Une polémique s’en est ensuivie, sur une situation qu’il ne nous appartient pas à l’heure actuelle de commenter, et que La Cravirola a souhaité clore par un dernier communiqué intitulé "CRAVIROLALA SPECIAL CRISE 2010", que vous pouvez consulter plus bas sur cette page..

Les commentaires ne sont désormais plus ouverts sur cette page. Si vous souhaitez correspondre avec la Cravirola veuillez utiliser le lien suivant : la Cravirola. Merci pour votre compréhension. Jean Luc, pour Passerelle Eco


9 votes

13 messages

  • Cravirola is not Dead !

    Le 23 décembre 2011, par pierre parent

    bonjour, je n’ai pas trouvé de lien vers votre boite mail (la rédaction/passerelle éco), je sais même pas si il y a une rédaction ou si c’est collectif.. Quoi qu’il en soit, ça va mal à Cravirola Le Maquis, le savez vous ? je premier procès a été perdu par la coopérative, des actions sont en cours. Il y a une AG ce 28/12 pour terres communes à minerve. Voilà. je suis plus que sympathisant, je suis militant, de parti pris ; j’aurais aimé poster quelque chose ici ; je ne demande rien comme espace de publication, ayant déjà par le passé participé à la polémique ( cf cravirola is not dead), mais j’aime les gens qui sont la haut, qui bossent et poursuivent le idées et utopies partagées, quand celui qui les renie attaque et risque de couler non seulement la coopérative cravirola, mais aussi la sas terres communes. Essayer de les joindre, britta, paulo, jéremy laura saïd fateh et les autres, le maquis a besoin de soutien. Merci de m’avoir lu Pierre Parent 04 68 75 30 67 Bien sûr, ne publier pas ça, cher modérateur :)

  • Cravirola is not Dead !

    Le 12 janvier 2011, par X

    En quoi Cravirola est une alternative ? Mon voisin aussi est obligé de faire cause commune avec son épouse pour rembourser leur emprunt immobilier. Pas impossible qu’il lui parle aussi de contrat moral "indéchirable" quand il rentre le soir fatigué du boulot.

    Il semble qu’il y ait eu une divergence de fond sur l’objet du collectif quant au travail, au rapport à l’économie. Fonder un collectif à la fois sur un contrat sacré entre ses membres, et sur le "travail abstrait" (au sens marxien), c’est demander à ce collectif de s’auto-exploiter sans limite admissible en son sein.

    Fonder une alternative globale uniquement sur des liens personnels, c’est finalement approfondir la domination économique en la mêlant plus intimement à nos actes et nos relations avec autrui.

    Comme s’il fallait choisir entre des relations humaines indéfectibles et la possibilité de défaire ces relations et les recomposer ailleurs, autrement, et avec d’autres. Le problème n’est pas dans le maintien des liens à tout prix (la gentille communauté contre la méchante société), mais de pouvoir faire et défaire ces liens sans alimenter l’abstraction et la puissance économiques.

  • CRAVIROLA 2010 – PUTSCH ET TRAHISON

    Le 30 octobre 2010, par Axel de Haas

    Sous le titre « Cravirola is not Dead », sont exhibés des raisons et des faits pour expliquer ce qui est pudiquement appelé par les auteurs « une crise sans précédent » qu’aurait traversé la Coopérative Cravirola. Il est insinué qu’il s’agirait d’une évolution finalement normale d’un projet collectif avec mon départ décrit comme volontaire (« retrait d’Axel »). Ceci nécessite des mises au point de ma part que la loi sur la communication audiovisuelle m’accorde sous forme de droit de réponse, tel que je l’exercerais ici. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le nouveau site internet : www.cravirola-trahison.info

    L’aventure de Cravirola n’a pas commencée il y a trois ans, comme le laisse penser l’article, mais il y a 25 ans, voir plus si on compte les années préparatoires. J y étais à l’origine, avec Britta Arste, ma compagne de l’époque. Pendant dix ans, une vie extrêmement dure et des efforts sans comparaison avec ce qui était nécessaire ces dernières trois années au Maquis ont construit les bases matérielles de ce qui allait devenir la Coopérative Cravirola.

    Il y a 15 ans, l’amour et des belles idées ont donné envie à Katia Rakba de s’installer au hameau de Cravirola. Elle a apporté ses talents d’artiste et sa belle plume pour donner corps et âme à ce rêve que je partageais avec elle, de former un véritable projet collectif (malgré l’hésitation de Britta, qui s’est senti dépossédée de son projet familial).

    C’est sur l’impulsion de Katia et de moi-même que se sont concrétisés par la suite les fondements « idéologiques » de la future coopérative : les principes de libre-association, d’autogestion et de non-cumul individuel de biens. Depuis, les nouveaux arrivants ont adhéré à Cravirola sur la base de ces principes ; principes qui, au fil des années, n’ont jamais pris une autre forme que celle d’un contrat moral. Cette radicalité vécue et assumée a souvent laissé dubitatifs ceux à qui j’ai expliqué Cravirola. Face à l’absence de toute sécurité individuelle, il n’y avait rien d’autre que la confiance dans les autres membres du collectif et ma certitude qu’ils ne me laisseront pas tomber, quoi qu’il arrive…

    Et pourtant, l’impossible, l’impensable est bien arrivé. Je n’ai nullement décidé de mon propre gré de quitter ce projet. Ce qui s’est passé à Cravirola convient d’être appelé un putsch, une prise de pouvoir, une trahison.

    Depuis l’hiver 2009/2010, Laura Sokoloff a œuvrée pour « m’enlever mes responsabilités », « m’écarter des prises de décisions », autrement dit (et elle l’a admit), de me mettre dehors. Comme elle avait l’impression de ne pas être écoutée à l’intérieur du collectif, elle a cherché du soutien à l’extérieur. Et finalement, sa démarche a réussi, aussi incroyable soit-il.

    Son premier soutien, elle l’a trouvé chez ses parents bien lotis qui se sont engagés à financer massivement la coopérative au cas où de nouveaux choix, à l’encontre de l’objectif d’autonomie économique tel que je l’ai toujours défendu, le nécessiteraient.

    C’est la question de l’importance accordée à l’économie dans le projet de la coopérative, qui est à l’origine du conflit. Pourtant, le choix de s’installer en 2007 à Minerve, la décision de s’endetter lourdement, de mener un projet ambitieux qui nécessiterait un gros effort de travail pour faire face à la pression économique a été pris collectivement. Mais aux yeux de ceux qui avaient du mal à assumer ce choix, c’est moi et qui suis devenu pour eux l’origine-même du stress. Moi, qui rappelais régulièrement

    les obligations qui résultaient de cette décision initiale. Le fait que j’ai ce qu’on appelle un caractère fort, que je sois une personne pas toujours facile à vivre, n’a certainement pas arrangé les rapports. Mais cela aussi, chacun du groupe le savait depuis toujours et bien avant son engagement.

    En dépit de ces différents, rien ne peut excuser que par la suite, même la règle la plus fondamentale du fonctionnement de notre collectif ait été bafouée. Celle qui voulait, qu’aucune décision jugée importante par un des membres du collectif, ne puisse être prise sans l’adhésion, ou au moins l’acceptation de chacun. Pourtant, il s’agit là d’une règle inviolable quand on exige des individus de renoncer à leur sécurité individuelle et d’accepter de se rendre dépendant du groupe.

    En apothéose, le conflit est allé jusqu’à déclarer notre contrat moral pour invalide (pourtant c’est justement le propre d’un contrat moral de ne pas pouvoir être déchiré). Le fabuleux soutien de Terres Communes a consisté à obtenir des actionnaires, dans une ambiance surréaliste et sans le moindre fondement légal ou moral, une délibération qui a déclaré la Coopérative Cravirola pour dissolue. Et qui a donné les clefs de la maison à un « nouveau collectif » en intégrant dans celui-là des personnes étrangères au pacte moral et en m’excluant moi-même. Scénario hallucinant, s’il en fallait encore.

    Le « retour aux valeurs » duquel se réclament ceux qui osent toujours s’appeler Coopérative Cravirola aujourd’hui, me fais rire – d’un jaune foncé. Après 30 ans d’investissement dans ce projet et l’apport de tous mes biens personnels au collectif (notamment l’ancien ferme Cravirola, d’une valeur de 320 000 Euros), je me retrouve à 53 ans sans travail, sans maison, sans retraite, avec 450 Euros de chômage pour quelque mois encore et 30 000 Euros en poche (mon argent « officiel » de la SCOP et de la SAS).

    Non, Cravirola à vendu son âme, s’est assis sur ses valeurs, a trahi ses fondamentaux - Cravirola est mort ! Il reste à veiller à son enterrement.

    Axel de Haas, octobre 2010

    • CRAVIROLA 2010 – fuite et renégation

      Le 29 décembre 2010, par pierre

      Je reconnais bien la pugnacité dédaigneuse d’Axel à travers ces lignes où la vérité est travestie, où l’histoire est réinventée. Pour avoir vécu plus de neuf mois au maquis, pour avoir partagé les enthousiasmes et les peines d’une équipe qui partait derrière le fondateur historique dans une course folle, dans une fuite en avant qui n’avait d’autre raison que l’aboutissement d’une idée personnelle : la réussite selon Axel, pour avoir été témoin de dizaines de réunions, de dizaines d’altercations et de toutes les assemblées générales ; pour toutes ces raisons qui me lient à ce que fut la coopérative cravirola, je peux témoigner de la faille terrible dans laquelle l’ancien pilier de l’aventure tente de précipiter ses anciens compagnons. Sur sa version, sur son trahison-club dont il est président et unique membre, il vous le diras sur la fin : "mort à cravirola"... plus exactement : "Maintenant il attend patiemment la fin de ce qui en reste (nldr cravirola). Et contribue activement pour que cela ne tarde pas trop"

      Pour qui l’a connu joueur et entrainant, c’est terrible de voir cet échec. Et ce n’est pas faute d’essais, de la part de dizaines d’amis, de copains, de relations plus ou moins proches pour lui faire entendre raison. Des mois et des mois de discussions, en vain. Oui, Axel est bien parti, ne pouvant plus se reconnaître et s’intégrer dans ce collectif qui a pris conscience (sans lui) de réalités jusqu’alors masquées ou ignorées. Oui, il fera croire qu’il a été éjecté, qu’il erre dans son camping car avec trois sous en poche, sans savoir ni que faire ni où aller : la réalité est tout autre ! Car le bonhomme est un roublard : pas un mot dans ses récits des gens qui ont partagé sa vie pendant des années. Pas un mot sur les différents, les violences, les échappées précédentes. Pour s’arranger en revanche d’une manipulation à son profit de l’histoire des autres, cités et instrumentalisés à son profit. Au profit de son image plutôt. Comment penser que l’on puisse renier aussi vite des années de construction, des années d’utopie en marche, des années d’alternatives ? Comment passer en quelques semaines d’un partage intégral (argent, héritage, logement, outils ) à une revendication opposée pour récupérer ce qui avait été mis en partage ? La réalité se tient aussi dans sa désertion depuis près de deux ans, il avait choisit de mettre une grande part de son énergie au service de son amie dans son domaine viticole à quelques encablures. On ne peut pas être partout à la fois.

      Il faut avoir vu la peine de ses plus proches, de ses anciens compagnons d’actes, pour savoir ce qu’il a manqué comme qualités à Axel pour continuer en cette équipe : de l’humilité, du réalisme, et l’envie de réparer, de continuer même si on n’est plus à la barre. C’est toute la notion d’équipage et d’humanisme qui a été mis a mal par son départ. Le pire serait qu’on parle de lui pendant longtemps ; le meilleur pour moi, c’est que je n’en parlerai plus ! Vive le Maquis !... Continuez vos soutiens, vos vacances à Bois-bas, vos achats de viande, de bois et de fromages à la coopérative : nous avons autant besoin d’eux qu’eux de nous tous.

      Pierre, photographe à Félines Minervois

      • CRAVIROLA 2010 – fuite et renégation

        Le 1er janvier 2011, par maurice

        Oui, certes continuer et aussi peut être espérer qu’Axel puisse mieux réflèchir il fut longtemps un membre reconnu de ce collectif et parmi les premiers. C’est triste qu’il souffre inutilement et destructeur -tentative vouée à l’echec face au collectif si vivace- Il y a aussi des lourds risques qui se profilent prochainement...

        • CRAVIROLA 2010 – conflits

          Le 4 janvier 2011, par Accompagner

          lire tout ce fratras (et le site special d’axel aussi)

          quelle tristesse !

          nous ne pourrons pas progresser dans le champs heureux dit des "alternatives" si nous ne creons pas une culture (et des instances ? groupes/equipe etc) prets a accompagner les groupes en difficultés conflictuelles...

          oui les types comme axel sont abominablement chiants et comme la plupart des "chefs" (de l’autogestion) de quasi autistes !

          mais souvent leur role moteur est ou a été fondamental, il faut le(s) reconnaitre !

          et la tentation d’assassiner les ’parents’ un leit motiv reel dans les groupes... (aussi de bruler ce(ux) que l’on a adorés...).

          Dans l’aventure de cravirola que l’on voit se derouler sous nos yeux depuis bientot trente ans... (de la roya au minervois...)

          que peut on faire ?

          pour qu’axel devienne un type a peu pres vivable en groupe... (il a pourtant tant de qualités, mais comment l’aider a lacher l’affaire avec ses urgences, son besoin d’accumulation, de (petit) pouvoir, son besoin d’en faire plus que les proches etc.. comment le soutenir pour l’aider a (enfin) apprendre a ecouter/comprendre les autres (au moins un tout petit peu plus ?) ?

          comment soutenir le reste du groupe (et en particulier ces (anciennes/actuelles) amies/compagnes) pour l’accompagnement, le pansage des blessures du petit loup, la restauration d’un sentiment pour lui de justice/solidaire et de simple equité... et ca sans se laisser trop "manger" ?? comment apprendre a lui parler/ lui faire se sentir ecouté/compris... car apres lui d’autres (petits chefs, activistes etc) viendront encore... d’autres conflits.. ou il faudra aussi trouver des solutions sans perdants..

          et faire un peu moins la honte/repoussoir de tout ce qui se veut sans chef, cooperatif, décidé en commun...

          comment peut on éventuellement aider a soigner ces blessures, depasser heureusement ce cap pas facile ?

          • Réaction d’Axel

            Le 9 janvier 2011, par Axel de Haas

            Le débat autour de Cravirola s’anime, c’est bien.

            Je ne vais pas répondre aux tirades de Pierre. De toute façon, ceux qui le connaissent ont apprécié.

            Mais j’aimerai dire quelques mots à "Accompagner" (sans savoir qui se cache derrière ce pseudo). Apparemment tu a fais des efforts pour comprendre. Ce que tu écris, me semble animé par la bonne foi et (presque) équilibré.

            Mais es-tu seulement un spectateur (accompagnateur) des projets alternatifs ? Ou es-tu toi-même un "activiste" ?

            Si oui, tu devrais savoir que dans un tel groupe il y a forcement beaucoup de gens chiants. Ceux qui parlent trop, mais aussi ceux qui ne disent jamais rien. Ceux qui ne sont jamais enthousiastes, mais aussi ceux dont l’enthousiasme débordant souffre d’une cruelle incompétence. Sans parler de ceux qui ne boivent pas -ou beaucoup trop, de ceux qui chantent faux ou qui n’aiment pas la soupe.

            Si Cravirola a fonctionné aussi longtemps, c’est qu’on était complémentaire. C’est que chacun(e) a rempli un rôle dans ce projet, ce qui a permit d’avancer ensemble.

            Bien-sur, t’as ta part de raison quand tu m’apostrophe de(petit)chef. Mais peut-être a-tu quand-même conscience que ce rôle a résulté autant de mon caractère que du fait que les autres m’ont bien volontairement laissé les tâches qui les auraient fait chier ? Évidemment, ce n’est pas plaisant de se taper banquiers, notaires, experts comptables, directeurs de la Safer ou de la DSV. Personne ne veut négocier avec la DDE ou affronter les flics.

            Pour tout ça, ma forte tête a été bien utile. Tout comme ma compréhension des chiffres ou du fonctionnement économique. Tout comme ma ténacité dans le travail ou mon intégrité politique.

            L’envers de la médaille, c’est que je ne suis pas non plus un tendre quand il s’agit des rapports humains. Même si je me suis assoupli au fil des années, je heurte et je blesse toujours souvent sans m’en rendre compte. Et parfois j’ai clairement dépassé les bornes.

            Mais de là, à me qualifier d’abominable, c’est quand-même fort. Ce que je trouve surtout abominable, c’est quand ceux qui ont toujours refusé de prendre de la responsabilité assassine celui qui marche devant quand il fait un faux pas.

            D’ailleurs, ce que je trouve aussi abominable, c’est que depuis trois mois je demande à Cravirola de publier ma réponse à leur récit (cet à dire mon point de vue sur ce qui s’est passé) et qu’ils le refuse. C’est abominable que ceux qui s’auto-déclarent défenseurs de valeurs ne respectent pas les moindres règles de base et que je dois alors passer par la justice pour obtenir le droit à la parole.

            Alors, cher Accompagner, je veux bien qu’on m’aide à panser mes blessures. Mais je crains qu’il y a encore du boulot.

            • Réaction d’Axel

              Le 10 janvier 2011, par mom

              Bonjour Axel, Fidèle de Cravirola dès l’époque de la Roya, j’ai souvent rêvé d’intégrer votre collectif tant vos réalisations étaient proches de mon idéal. La vie en a décidé autrement et je me reconnais dans ton caractère, tes convictions... et tes coups de gueule. Alors si le cœur t’en dit, envisagerais-tu de créer autre chose, dans un autre lieu, une espèce de préretraite active, créative, régénératrice et tout et tout, le rêve quoi. On a plus vingt ans, mais rien est foutu. L’important dans la chute, c’est de se relever. Tu as tout mon soutien dans ce monde ingrat.

      • CRAVIROLA 2010 – fuite et renégation

        Le 7 janvier 2011, par phil

        Eh oui, faudra peut-être voir les crachats haineux de Pierre le photographe à Fellines dans leur contexte...Ça dû être frustrant pour lui, de tomber deux fois de suite dans sa vie sur l’os Axel.

        La première fois, quand il a posé sa candidature pour devenir membre du collectif de Cravirola - et Axel ne voulait pas de lui. Et comme une seule personne suffisait pour ne pas être accepté dans le groupe, alors forcement c’est clair à qui la faute. (Sauf que c’était tout le collectif [moins une] qui ne pouvait s’imaginer de partager sa vie avec quelqu’un comme Pierre. Mais quand on fait une fixation...)

        La deuxième fois, quand Pierre aurait bien voulu avoir la place à côté de Mireille sur ce beau domaine viticole,qui -injustice de la vie- elle aussi n’a pas voulu de lui..., mais qui est devenue l’amie d’Axel, même si celui-ci n’était pas très disponible à cause de son engagement à Cravirola...

        Ah, quand la jalousie prend la plume ...

        • CRAVIROLA 2010 – réponse en privé

          Le 8 janvier 2011, par pierre

          j’adresse un mail à "phil" en messagerie perso comme réponse principale au dernier commentaire plutôt contradictoire.

          LA question primordiale n’est pas dans l’histoire que chacun tirera de son côté, mais dans la mise en place de comportements permettant d’éviter des conflits comme celui de 2010. J’aime assez l’idée d’une veille et d’une instance pour accompagner les groupes en difficultés évoquée plus haut.

          Le Maquis n’est pas à l’abri de sabotages délibérés. Mais il a les moyens de l’autocritique constructive qui est déjà entamée : longue vie à tous !

    • CRAVIROLALA SPECIAL CRISE 2010

      Le 13 janvier 2011, par Cooperative Cravirola

      Bonjour à tous,

      Notre silence sur Passerelle Eco à la publication du droit de réponse d’Axel, notre refus de publier son droit de réponse sur le Cravirolala, notre absence de réaction à la création de son site internet, tient au fait que ce qui s’est passé au sein de la coopérative Cravirola - au delà d’être douloureux pour tout le monde - concerne la partie intime de l’histoire du collectif. En ce sens, pour nous, cette tempête intestine n’a pas lieu d’être sur la place publique. Elle n’a par ailleurs jamais eu lieu jusqu’ici pour les départs précédents.

      Mais au regard de ce qui est dit sur le collectif par Axel et des dérives d’interprétation que nous pouvons voir sur le forum de Passerelle Eco, nous ne pouvons laisser se répandre sur la toile de fausses informations - nous ne pouvons laisser salir l’intégrité morale que nous estimons avoir montrée dans la gestion de cette crise.

      Ce « CRAVIROLALA SPECIAL CRISE 2010 » sera le dernier Cravirolala et il a pour but de vous donner la version du collectif des faits importants que nous estimons faussés par les propos d’Axel. Nous ne rentrerons pas dans les détails.

      C’est le dernier Cravirolala non pas du fait de la crise, mais parce que nous avons choisi de refondre le site internet de Cravirola, pour qu’il soit plus facile à faire vivre, et qui désormais relaiera les nouvelles du collectif. Ce site sera probablement mis en ligne courant janvier.

      Nous espérons que ce sera la seule fois que nous aurons à communiquer sur le départ d’Axel. Nous ne réagirons pas, quelques soient ses attaques futures envers le collectif, dans le but de mettre fin à cette polémique stérile.

      Voici les faits vus par le collectif :

      La crise de 2010 n’était pas la première qui ait eu lieu au sein du collectif. Axel a déjà fait des menaces de démission auparavant. Il est déjà parti en claquant la porte sans donner de nouvelles. Il a souvent imposé ses points de vue par la force.

      Mais c’est certainement la première fois que le collectif était suffisamment cohérent face à lui, pour lutter contre ses excès de pouvoir et ses coups d’éclat, et pour réaffirmer les valeurs pour lesquelles tous s’étaient engagés dans le projet. Si aucune réactivation de ces valeurs n’avait eu lieu, six personnes du collectif seraient parties en septembre 2010... autant dire que le projet serait mort. L’annonce du sien en face nous apparût dans un premier temps comme une énième tentative de l’emporter au chantage...

      Au printemps donc, le collectif a remis en question l’approche purement économique d’Axel qui éludait notamment la question humaine et les idéaux pour lesquels chacun soutenait le projet. Axel n’a pas supporté que le collectif puisse avoir un positionnement différent du sien. Il a pris la fuite deux mois et demi, en plein chantier sans donner de nouvelles - autres qu’annoncer sa démission de la Scop Cravirola et de Terres Communes - nous laissant nous débrouiller pour la préparation de la saison.

      Nous avons demandé à Bernard et Valérie de Caracoles de Suc - personnes en qui le collectif et Axel avaient confiance, de prendre le rôle de médiateurs. Après leur première intervention, Axel était d’accord pour prendre du recul, ne pas participer à la saison, et repenser ensemble le projet en septembre.

      Nous avons continué à préparer l’été sans lui.

      Mais Axel est revenu fin juin et a décidé de rester sur le lieu et de reprendre de force son rôle de gestionnaire de la SCOP qu’il avait abandonné. Nous lui avons rappelé qu’à la vue de ses positions inflexibles et donc de l’impossibilité de travailler ensemble, nous ne souhaitions pas qu’il participe à la saison ; mais qu’il pouvait habiter sur le lieu. Nous lui avons réaffirmé que nous remettions à Septembre la discussion avec lui sur les perspectives du projet de la coopérative Cravirola.

      Lors de l’assemblée générale de la SAS Terres Communes le 3 juillet, Axel a présenté officiellement sa démission de la présidence de la SAS. Le collectif a fait part de ses difficultés. Axel a exprimé ses positions. L’ensemble des actionnaires présents a pu entendre les différends entre le collectif et lui, et notamment son incapacité à entrer dans un débat constructif. L’assemblée de Terres Communes a entendu la dissolution, de fait, de la coopérative Cravirola, et la mise en route d’un processus de reconstruction d’un nouveau collectif prêt à porter le projet du Maquis.

      Le 27 juillet a eu lieu l’assemblée générale de la SCOP Cravirola en présence d’un médiateur de l’URSCOP. Axel était d’accord avec cette médiation. Nous avons négocié un accord de départ d’Axel de la SCOP qui a démissionné officiellement de son rôle de gestionnaire et nous lui avons racheté ses parts sociales.

      Depuis, Axel fait tout pour couler la SCOP Cravirola. Nous vous épargnerons la liste des malveillances qu’il commet, mais sachez qu’il exige aujourd’hui le remboursement de ses parts de capital de la SAS Terres Communes - ce qui la met en péril de faillite immédiate - quitte à embarquer sans distinction dans la tempête la Ferme Autogérée de la Roya et Caracoles de Suc, les deux autres collectifs de Terres Communes. Il nous a précisé devant témoins, qu’il se donnait trois ans pour parvenir à ses fins.

      A titre collectif, il n’a jamais été question de mettre Axel dehors, contrairement à ce qu’il affirme. Et malgré tous nos efforts pour qu’il puisse prendre place dans la réflexion sur le projet, il n’est jamais entré dans une démarche constructive avec nous. Il n’a jamais écouté ni entendu le collectif qui le mettait en garde contre les dérives de hiérarchisation liées aux objectifs de rentabilité purement économiques. Nous avions perdu dans ce fonctionnement les fondamentaux politiques et humains du projet qui nous rassemblaient. La façade publique était belle, mais derrière, c’était autre chose.

      Le point de vue de Britta :

      « Il est vrai qu’Axel était officiellement propriétaire de la ferme à la Brigue et qu’il l’a apportée en capital en son nom dans la SAS Terres Communes. Mais il oublie de dire que j’ai apporté le même montant en capital que lui pour l’achat. De plus, il n’est pas vrai que la valeur qu’a pris la ferme ne soit due qu’au travail d’Axel. Comme il le dit lui même, j’y étais depuis le départ et pendant 25 ans. Mais il y avait aussi ses deux enfants, Katia, Laura, Jérémie, Saïd, Fateh et plein d’autres gens qui sont passés et qui ont donné pendant des années de leur énergie et de leur travail pour que la ferme devienne ce qu’elle est aujourd’hui.

      Alors, exiger aujourd’hui le remboursement de « ses » parts, ce n’est plus de la mauvaise foi, c’est de l’escroquerie.

      Le deuxième point concerne mon soi-disant retrait dans la sphère familiale et la construction du futur collectif uniquement portée par Katia et Axel, c’est faux. L’idée de créer un collectif était une motivation de départ et si à un moment donné je m’y suis moins investie, c’est pour des raisons relationnelles personnelles (qui ne sont pas à débattre ici) et non pas pour des raisons de principe.

      Aujourd’hui, je fais partie du nouveau collectif, je regrette profondément qu’à nous tous on n’ait pas été capables de gérer ce conflit d’une manière plus positive. En même temps, en vue des aspirations de départ, le collectif est selon moi sur la bonne voie. »

      Britta.

      Pour résumer :

       Axel a été incapable de faire preuve d’assez d’humilité pour se remettre en question et entrer dans un débat de fond constructif avec le collectif ;

       il oublie dans ses réflexions égocentriques les compagnons de route qui ont tenu bon durant toutes ces années et sans qui rien n’aurait été possible ;

       il oublie aussi la participation dans cette aventure de tous les volontaires qui ont donné de leur énergie et de leur temps sans compter ;

       il s’est indemnisé lui-même au delà de ce qui était convenu dans la négociation, en mettant en danger l’économie de la SCOP Cravirola ;

       il s’est déchargé des dettes qu’il a participé à engager au nom de Terres Communes sans les assumer ;

       il entreprend des démarches juridiques en vue de récupérer ses parts de capital pour mettre en péril la SAS Terres communes et donc les trois collectifs ;

       et il veut aujourd’hui se faire passer pour un martyre...

      Voilà la triste histoire de la sortie d’Axel de la coopérative Cravirola, vue par le collectif du Maquis.

      Mais, aujourd’hui, malgré tout ça, nous sommes bien, dans nos bottes crottées :

       nous touchons du doigt une certaine sérénité parce que nous sentons que nous sommes aujourd’hui sur la bonne voie ;

       le collectif se reconstruit progressivement sur des bases saines et tente de réaffirmer et de vivre les valeurs d’origine du projet ;

       nous sommes bien regonflés pour poursuivre cette aventure, malgré les difficultés que nous traversons ;

       et nous vous invitons à venir nous voir pour un chantier solidaire ou bien l’été prochain, avec plein de sourires et d’envie de vivre un moment ensemble au camping participatif du Maquis.

      Sur ce, retournons à nos moutons et battons-nous pour des luttes qui en valent le coup !

      L’équipe du Maquis.

      Coopérative Cravirola Hameau de Bois Bas 34210 Minerve www.cravirola.com

    • Euh y a pas un problème ?

      Le 8 mars 2012, par Kiel

      On aimerait bien y voir plus clair dans votre aventure. Bon le lien www.cravirola-trahison.info ne marche pas. donc si je peux résumer : un projet alternatif, puis le fondateur ne se sent plus en phase avec l’évolution du projet=tiraillement, puis reprise en main par un nouveau groupe. Donc que du trés classique dans la vie de projet. Ca serait bien que vous nous fassiez part de vos solutions pour résoudre le problème "comment gérer le passage d’un projet d’un fondateur vers un collectif (2eme génération)". En tout cas bon courage.

      • Euh y a pas un problème ?

        Le 29 juin 2014, par Bakatesta

        Ben oui, plus de deux ans après, on attend toujours... Comme quoi, le tirage au sort mis en place par la démocratie athénienne, parfait contre-feu à l’apathie congénitale du groupe, était de loin une solution pleine de sagesse. Bizarrement, cette idée on ne peut plus égalitaire, est conspuée par tous les dogmes politiques sans exception. Aller savoir pourquoi...

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